Manifeste affirmant le caractère un et divers de la langue d'Oc

Contacter l'auteur de la pétition

Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Manifeste affirmant le caractère un et divers de la langue d'Oc.


Visiteur

#451 Re:

2013-05-20 17:19


Visiteur

#452

2013-05-24 08:01

ESQUIROT : Association des parents d'élèves de la classe bilingue Français-Gascon de St Martin de Seignanx (Landes)"Per que vive la laenga".
Philippe Carcassés

#453 Re:

2013-05-24 11:11

#124: Philippe MARTEL -

Avec ce commentaire de Felip Martel, on a enfin quelque chose de calme et sensé. Il était temps.


Visiteur

#454

2013-05-24 12:20

la diversité des langues et des cultures est un atout sérieux et non délocalisable de notre pays. Pourquoi le refuser ?

Visiteur

#455

2013-05-25 21:00

c'est notre lutte de tous les jours ....un petit plus !

Visiteur

#456

2013-05-26 13:47

Défendre la langue d'Oc et l'ensemble des langues régionales , c'est défendre le français quand l'anglais veut envahir classes primaires et Universités. Il serait temps que les opposants à la charte comprennent que "si tombon lei felibres, tombara noste nacion"

Visiteur

#457

2013-05-26 20:27

Plus l'humanité diminue dans sa diversité, plus elle s'appauvrie culturellement.
La Suisse à quatre langues nationales....

Visiteur

#458

2013-06-06 07:01

50 ans de militantisme occitan dans l'association que je préside et enfin une avancée au sein de l'Education Nationale pour les langues régionales mais il reste du boulot pour l'occitan soit reconnu comme langue de France
Aubert des Mesnils

#459 la lei novèla, una avançada istorica benlèu?

2013-06-06 21:28

Les mentions des langues régionales dans le Projet de loi de refondation de l’école.

Article 18 bis
Après le premier alinéa de l’article L. 216-1 du même code, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :
« Les activités complémentaires mentionnées au premier alinéa peuvent porter sur la connaissance des langues et des cultures régionales. »

Article 27 bis
I (nouveau). – L’article L. 312-10 du code de l’éducation est ainsi rédigé :
« Art. L. 312-10. – Les langues et cultures régionales appartenant au patrimoine de la France, leur enseignement est favorisé prioritairement dans les régions où elles sont en usage.
« Cet enseignement peut être dispensé tout au long de la scolarité selon des modalités définies par voie de convention entre l’État et les collectivités territoriales où ces langues sont en usage.
« Le Conseil supérieur de l’éducation est consulté, conformément aux attributions qui lui sont conférées à l’article L. 231-1, sur les moyens de favoriser l’étude des langues et cultures régionales dans les régions où ces langues sont en usage.
« L’enseignement facultatif de langue et culture régionales est proposé dans l’une des deux formes suivantes :
« 1° Un enseignement de la langue et de la culture régionales ;
« 2° Un enseignement bilingue en langue française et en langue régionale.
« Les familles sont informées des différentes offres d’apprentissage des langues et cultures régionales. »
II. – L'article L. 312-11 du même code est ainsi rédigé :
« Art. L. 312-11. – Sans préjudice des dispositions de l'article L. 121-3, les enseignants des premier et second degrés sont autorisés à recourir aux langues régionales, dès lors qu'ils en tirent profit pour leur enseignement. Ils peuvent également s’appuyer sur des éléments de la culture régionale pour favoriser l’acquisition du socle commun de connaissances, de compétences et de culture et des programmes scolaires. »

Annexe
La précocité de l'exposition et de l'apprentissage en langue vivante, étrangère et régionale, est un facteur avéré de progrès en la matière.
Il sera instauré un enseignement en langues vivantes dès le début de la scolarité obligatoire. Dans les académies concernées, l'apprentissage complémentaire d'une langue régionale sera favorisé et le bilinguisme français-langue régionale sera encouragé dès la maternelle.
La fréquentation d'œuvres et de ressources pédagogiques en langue étrangère ou régionale dans les activités éducatives durant le temps scolaire et les temps périscolaires et extrascolaires sera encouragée.
Dans les territoires où les langues régionales sont en usage, leur apprentissage, pour les familles qui le souhaitent, sera favorisé. Ainsi, outre l'enseignement de langues et cultures régionales qui peut être dispensé tout au long de la scolarité par voie de convention entre l'État et les collectivités territoriales où ces langues sont en usage, les activités éducatives et culturelles complémentaires qui peuvent être organisées par les collectivités territoriales pourront porter sur la connaissance des langues et des cultures régionales.
Pour favoriser l’accès aux écoles dispensant un enseignement de langue régionale, les élèves résidant dans une commune dont les écoles ne proposent pas un tel enseignement auront la possibilité d’être inscrits dans une école d’une autre commune dispensant cet enseignement, sous réserve de l’existence de places disponibles.

Visiteur

#460

2013-06-07 16:46

L'occitan fait partie de notre culture; il nous " colle aux tripes" il est intrinséquement notre patrimoine; nous voulons le garder et le transmettre ,OC!
aubert des mesnils

#461 Quand la mobilizacion paga !

2013-06-07 17:53

L’Institut d’Estudis Occitans se benastruga de l’adopcion, per l’Assemblada Nacionala, aqueste 5 de junh de 2013, de la lèi de refondacion de l’escòla dins sa novèla version que dona enfin de drechs ai lengas regionalas.
Li trobam una avançada dins sa reconoissença ambé la possibiltat d’ensenhament de lenga e en lenga. E fòrça important, li dona un estatut juridic de referéncia clar e declarat (cf annèxa).
Adonc, l’IEO regracia aicí totei lei sòcis, seccions e simpatizants qu’an respondut a sei rampeladas de mobilizacion e/ò que prenguèron d’iniciativas per faire pression sus lei decideires e quichar totjorn mai sus lei decisions !
La mobilizacion a pagat !
Es una victòria collectiva de l’ensems dau movement associatiu occitan mai tanben deis autrei lengas de França e deis elegits (totei tendéncias mescladas) que se son engatjats e an sostengut e afavorizat nòstrei revindicacions.
La lèi de refondacion (emai siegue pas perfiecha que manca entre autra l’ensenhament per immersion) es un progrès a rapòrt de tot çò que se faguèt fins ara per lei lengas regionalas, li duèrbe de pòrtas per un avenidor positiu de desvolopament.
A nautrei, ara, d’èstre pron vigilants e eficaç per que demòran dubèrtas !
La mobilizacion contunha !
Avèm una novèla lèi mai sabèm totei que basta pas, que fau encara que siegue aplicada e si concretize dins leis actes.
Sabèm d’autra part que lei compausantas dei Institucions, Collectivitats e autrei administracions, elei, an pas cambiat e qu’aurem segurament encar e totjorn de s’acarar a de temptativas d’empacha de tota mena !
Lo Ministre a fach, un còp de mai, d’agradivas promessas (pòstes en mai, informacion dei familhas…), ara fau que lei tengue !
Avèm ganhat una plaça dins l’ensenhament, òsca, mai bastarà pas per l’espandiment de la transmission s’es pas completada per una preséncia dins la vida publica, lei medias e tot çò qu’afavoriza la socializacion… totei plaças qu’avèm d’ocupar !
Alora, contents e satisfachs ? Òc segur ! Mai totjorn aquí, tant testards e combatius !
Anem zo ! Tornem-se metre a l’òbra !

Ce message a été supprimé par l'administrateur du site (Montrer les détails)

2013-06-11 17:17


Ce message a été supprimé par l'administrateur du site (Montrer les détails)

2013-06-15 17:23


Ce message a été supprimé par l'administrateur du site (Montrer les détails)

2013-06-22 21:46


Centre P.E.N. de Lenga d'Òc

#466 manifeste présenté à l"UNESCO par les défenseurs des langues minorisées dites "régionales"

2013-06-25 18:15

Nous, locuteurs de langues régionales de l'État français,
face à la discrimination linguistique dont nous sommes victimes,



DEMANDONS SOLENNELLEMENT LA RATIFICATION
DE LA CHARTE EUROPÉENNE DES LANGUES RÉGIONALES



L'UNESCO reconnaît que, de par leurs implications complexes sur le plan de l’identité, de la communication, de l’intégration sociale, de l’éducation et du développement, les langues ont une importance capitale pour les peuples. Il est très généralement reconnu que les langues jouent un rôle vital dans le développement. Elles sont un gage de la diversité culturelle et du dialogue interculturel, elles sont aussi un moyen d’atteindre une éducation de qualité pour tous et de renforcer la coopération entre les peuples. Elles permettent de bâtir des sociétés du savoir inclusives et de préserver le patrimoine culturel. Elles permettent de mobiliser la volonté politique en faveur de l’application des bienfaits de la science et de la technologie au service du développement durable.


La France est en contradiction avec ses engagements au niveau international :
En France, depuis des décennies, voire des siècles, la sauvegarde des langues ne progresse pas ; les langues « régionales » de France ne bénéficient d’aucune véritable reconnaissance, d’aucune loi en leur faveur. Les langues de France ont été mentionnées en 2008 dans la Constitution comme faisant partie du patrimoine de la France ; un patrimoine, qu’il soit matériel ou immatériel doit être maintenu, on se doit d’en assurer la promotion, on a le devoir de le transmettre aux générations futures.
L'Atlas de l'UNESCO recense toujours 26 langues en danger, en France, à des degrés divers : 13 sérieusement en danger, 8 en danger et 5 en situation vulnérable. Par exemple, la langue basque est considérée comme une langue vulnérable, alors que l'occitan est considéré comme une langue "sérieusement en danger".

Tandis qu'en Europe et dans le monde, la France s'affirme souvent à l'avant garde des principes de sauvegarde de la diversité linguistique et culturelle, considérés comme des valeurs essentielles pour l'avenir de l'humanité, la République française, paradoxalement, reste profondément marquée par un vieux modèle impérial et centralisé, inadapté au monde d'aujourd'hui et à la volonté de ses propres citoyens d'être reconnus dans leurs identités propres dans les territoires où ils vivent.

La France, a pris une part essentielle à l'élaboration de plusieurs conventions internationales, aujourd'hui entrées en vigueur, qui promeuvent la sauvegarde de la diversité culturelle et linguistique :

La France a signé la Déclaration universelle des droits de l'Homme. ONU - 10 décembre 1948 :
Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et toutes les libertés proclamés dans la présente déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion...

La France a signé la Déclaration universelle de 2001 de l'UNESCO sur la diversité culturelle :
Son Plan d'action appelle les États membres à prendre les mesures appropriées pour :
- sauvegarder le patrimoine linguistique de l'humanité et soutenir l’expression, la création et la diffusion dans le plus grand nombre possible de langues;
- encourager la diversité linguistique - dans le respect de la langue maternelle - à tous les niveaux de l'éducation, partout où c'est possible, et stimuler l'apprentissage du plurilinguisme dès le plus jeune âge, et promouvoir la diversité linguistique dans l'espace numérique et encourager l'accès universel, à travers les réseaux mondiaux, à toutes les informations qui relèvent du domaine public.

La France a signé la Convention de 2003 pour la sauvegarde patrimoine culturel immatériel :
Cette Convention reconnaît le rôle essentiel du langage dans l'expression et la transmission du patrimoine vivant. Tous les domaines du patrimoine culturel immatériel - des connaissances sur l'univers aux rituels, des arts du spectacle aux savoir-faire liés à l'artisanat traditionnel dépendent des langues pour leurs pratiques quotidiennes et leur transmission d'une génération à l'autre. Dans le domaine des traditions et expressions orales, la langue n'est pas seulement un vecteur du patrimoine immatériel, elle constitue son essence même.

La France a signé la Convention de 2005 sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles ; elle l'a ratifié le 18 décembre 2006 :
Cette Convention affirme dans son préambule que la diversité linguistique est un élément fondamental de la diversité culturelle.
Dans ses objectifs (article 1), elle préconise de :
« promouvoir le respect de la diversité des expressions culturelles et la prise de conscience de sa valeur aux niveaux local, national et international ».
Dans ses principes (article 2), elle proclame :
- Droits de l'homme :
« La diversité culturelle ne peut être protégée et promue que si les droits de l'homme et les libertés fondamentales telles que la liberté d'expression, d'information et de communication, ainsi que la possibilité pour les individus de choisir les expressions culturelles, sont garantis ».
- Égale dignité de toutes les cultures :
« la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles impliquent la reconnaissance de l'égale dignité et du respect de toutes les cultures, y compris celles des minorités et celles des peuples autochtones ».
- Développement durable :
« La diversité culturelle est une grande richesse pour les individus et les sociétés. La protection, la promotion et le maintien de la diversité culturelle sont une condition essentielle pour un développement durable au bénéfice des générations présentes et futures ».
Le texte est entré en vigueur le 18 mars 2007


Dans sa réponse du 2 avril 2008 au Comité des droits économiques sociaux et culturels des Nations unies la France affirme (§ 331): « La France ne reconnaît pas en son sein l'existence de minorités disposant en tant que telles de droits collectifs opposables dans son ordre juridique. Elle considère que l'application des droits de l'homme à tous les ressortissants d'un État, dans l'égalité et la non-discrimination, apporte normalement à ceux-ci, quelle que soit leur situation, la protection pleine et entière, à laquelle ils peuvent prétendre. Il s'agit d'une conception particulièrement exigeante des droits de l'homme ».
Or, on constate que cette pétition de principe, loin d'être exigeante, ne l'engage en réalité à rien et certainement pas à lutter contre les inégalités. Dans les faits, elle est parfaitement et fondamentalement discriminatoire. Elle crée deux catégories de citoyens : ceux dont le « particularisme » dominant est défendu et promu, et ceux qui, appartenant à d'autres traditions culturelles d'une République si diverse, sont soumis à une politique d'assimilation totale, contraire à « la reconnaissance de l'égale dignité et du respect de toutes les cultures » affirmée par la Convention de l'UNESCO sur la diversité culturelle.
La véritable égalité n'est-elle pas de permettre à chacun de choisir sa propre identité et non de se voir imposer une identité particulière ?

Position de l'experte indépendante des Nations Unies sur les minorités.
Le rapport sur la France du 3 mars 2008, de l'experte indépendante des Nations unies pour le droit des minorités, Madame Gay McDougall apporte un éclairage très révélateur sur le cas français : « les membres des communautés minoritaires témoignent fréquemment de la frustration qu'ils ressentent en constatant qu'il ne suffit pas de devenir français pour être complètement accepté par le reste de la société. Ils ont le sentiment que la condition de l'acceptation n'est rien moins que l'assimilation totale. Il leur semble qu'à cause d'une vision rigide de l'identité nationale française, ils ont dû rejeter des aspects essentiels de leur propre identité ».
En conclusion le rapport note que « malgré l'existence d'une importante législation anti-discrimination, les membres des communautés minoritaires en France sont victimes d'une véritable discrimination raciale ancrée dans les mentalités et les institutions. Le refus politique de reconnaître ce problème a entravé l'adoption de mesures propres à garantir l'application des dispositions législatives pertinentes et à corriger les inégalités complexes qui se sont installées ».

La République française ne peut plus, sous peine d'être en contradiction totale avec ses engagements internationaux ne fonder son identité que sur la seule langue française, devenue langue unique de la République par l'article 2 de la Constitution et langue de « sa personnalité » par l'article 1 de la loi du 4 août 1994 qui institue le privilège du seul français au détriment des autres langues des différents territoires. Langue commune ne signifie pas langue unique ni monolinguisme appauvrissant.
La Constitution française, comme la plupart des autres constitutions européennes, se doit de reconnaître cette diversité,

Aujourd'hui les valeurs universelles se situent du côté de la diversité de nos langues et de nos cultures qui favorisent aussi le plurilinguisme indispensable à la société contemporaine.

C'est aussi un combat pour la dignité de l'homme et pour la démocratie auxquels nous appelons tous nos concitoyens et d'abord nos élus, au nom des valeurs universelles auxquelles la République affirme se référer tout en continuant à les ignorer.




Actuellement :

Le Président de la République, François Hollande, a pris l'engagement de faire ratifier la Charte des langues régionales ou minoritaires du Conseil de l'Europe.

Cet engagement n°56 de son programme, maintes fois réitéré devant les électeurs comme devant les parlementaires européens et rappelé à plusieurs reprises par le Gouvernement devait passer par une révision de la Constitution qui vient d'être retiré du projet de loi de modification Constitutionnelle.

C'est donc l'espoir de reconnaissance, enfin, pour des millions de locuteurs et de citoyens attachés à leurs langues, que la France est un pays constitué d'une diversité de langues et de cultures, qui s'éloigne, suite à un simple avis du Conseil d'État qui n'oblige en rien.

C'est un repli frileux sur une vision archaïque d'une société monolingue, fût-elle française; c'est le pluralisme et la diversité qui sont mis à mal ; c'est la démocratie qui est atteinte ; c'est la dynamique et la créativité sociales de nos territoires dont nous avons tant besoin dans cette période difficile qui risquent d'être cassées.


C'est pourquoi, nous demandons à nos élus parlementaires, au gouvernement de la République française :

- de modifier la Constitution pour faire ratifier la Charte des langues régionales ou minoritaires du Conseil de l'Europe conformément aux principes de démocratie, de droits de l'homme et de l'État de droit qui la sous-tend et aux engagements du Président de la République.

- de rédiger et voter une loi en faveur des langues régionales qui précise les droits accordées à celles-ci et les moyens nécessaires destinés à les maintenir, les promouvoir, les transmettre.
JFB

#467 "Redéfinir une politique publique en faveur des langues régionales et de la pluralité linguistique i

2013-07-16 16:01

lundi 15 juillet 2013

"Redéfinir une politique publique en faveur des langues régionales et de la pluralité linguistique interne"
Rapport présenté le 15 juillet 2013 à la ministre de la culture et de la communication par le Comité consultatif pour la promotion des langues régionales et de la pluralité linguistique interne présidé par Rémi Caron, Conseiller d’État.
Rapporteur général : Benoît Paumier, Inspecteur général des affaires culturelles.

http://www.culturecommunication.gouv.fr/Actualites/Missions-et-rapports

marcamau

#468 Document ministère de la Culture

2013-07-24 17:44

le 15 juillet le Comité consultatif pour la promotion des langues régionales a déposé un document de 100 p. auprès de Mme la Ministre de la culture, afin d'inciter le gouvernement à élaborer et faire voter "une loi à haute valeur symbolique - Débattue et votée au Parlement par la représentation nationale, une loi relative à l’ensemble de la politique publique en faveur des langues régionales confirmerait la reconnaissance par la communauté nationale de l’existence et du rôle des langues de France. Sa valeur politique serait forte." (Page 48)

Ce document est visible sur le site du ministère de la culture. Il contient de très nombreuses recommandations afin de donner à la France une loi définissant les droits et les moyens qu'il faut accorder aux langues régionales en vue de les maintenir, les promouvoir, les transmettre.
Tous ceux qui en ont la possibilité, doivent agir auprès de nos élus de telle façon que ce rapport soit utile et nous conduise tout droit vers une loi en faveur de nos langues.

Ce message a été supprimé par l'administrateur du site (Montrer les détails)

2013-07-27 23:04



Visiteur

#470

2013-08-18 18:05

L'humanité doit vivre en se remettant en cause au regard des lois qui concourent à la vie,nous aurons besoin de toutes les langues et de toutes les civilisations pour faire entrer le paramètre culturel dans l'équation qui raisonnera: Nature, Société et Progrés. ( Claude ALRANQ )
Lo Pascalon

#471 Re: es uno lengo bello que canto per carriero

2013-08-18 20:21

#19: Marlette - es uno lengo bello que canto per carriero

Osca Marleta,

Li a de temps, qu'assaio de fare bolegar de monde dins mon relarg per se retrobar a la terrassa d'un bar o sus un marcat per charrar tot simplament.

La lenga la fau fare ausir! Ieu resto en Provença n'auta e n'aproficho per tornar mandar aquèu pichon rampèu.


Visiteur

#472

2013-08-19 15:50

Tout n'est pas défendable sauf dans la culture.
Frantz
Visiteur

#473

2013-08-21 23:07

Si le provençal est la langue de la Provence, alors, les Belges du sud parlent wallon, les Québécois parlent le québécois, les Louisiannais parlent cajun, les Suisses de la Suisse Romande parlent le "romandien" et bien d'autre encore à travers le monde. Aucun donc ne parle le français. Et pourtant... Ce qui est donc valable pour ces différents peuples, pourquoi ne serait-il pas pour l'occitan ?


Visiteur

#474

2013-08-22 10:15

Osca per l'occitan ligam exceptionau de l'arc mieterranen .
Marido83

#475 Re:

2013-08-23 21:00

#7: Realista -

Vous êtes tous atteints de délirium-tremens !!!!! faut vous faire soigner !!!!!!