Intégrer l’enseignement des sciences humaines : une voie pour les faire mieux vivre ?

Commentaires

#4

Enseignant en Sciences Humaine et favorable à une intégration des différentes disciplines qui les composent, je partage la quasi totalité des opinions exprimés par F. Budo dans cette pétition. Il me semble essentiel de pouvoir faire écho dissonant avec la position réactionnaire et alarmiste de la tribune universitaire.

(LIEGE, 2018-02-03)

#6

Le monde actuel et à venir est d'une grande complexité qui ne peut se concevoir par la seule approche analytique, c'est-à-dire celle de la décomposition, celle du regard spécifique. Il me semble qu'il est grand temps d'agir et de penser notamment dans une approche synthétique, celle du rassemblement et de la confrontation des points de vue.
Par ailleurs, cette approche qui combinerait les mouvements analytique et synthétique semble aussi adéquate pour apprendre à naviguer dans la société de connaissance où l'accès aux savoirs est facilité mais pas forcément le traitement de ces informations pour les transformer en connaissances.

(Oreye, 2018-02-03)

#14

professeur de géographie retraité d'une école secondaire, l'IND Anderlecht et d'une haute Ecole l'ISPG

(Steenkerque, 2018-02-03)

#26

Pensons la meilleure école possible plutôt que la résultante des différent groupes de pression, ou autre lobbys corporatistes.

(Spa, 2018-02-04)

#27

Cette vision des cours de sciences humaines fera beaucoup plus sens - si toutefois les conditions évoquées sont mises en place - auprès des jeunes de divers milieux d'origine

(Bruxelles, 2018-02-04)

#28

Moi-même concernée par ces cours que je donne depuis 20 ans dans l'enseignement technique et professionnel, je partage votre analyse. La société change, nos élèves ne sont plus les mêmes qu'il y a 20 ans et c'est bien normal. Les évolutions prévues dans le Pacte me semblent vraiment aller dans le bon sens par rapport à ce que je pratique au quotidien. Avançons.

(Herve, 2018-02-04)

#33

En tant que professeur de sciences économiques et sciences sociales, (retraitée), j'ai, au cours de mon enseignement, fait régulièrement référence tant à l'histoire qu'à la géographie afin que les élèves et/ou étudiants aient une compréhension meilleure des problématiques étudiées.

(Schaerbeek, 2018-02-04)

#36

Ces apprentissages forment un tout indisociable pour une citoyenneté responsable.

(Braine l'Alleud, 2018-02-04)

#49

Le pacte pour un enseignement d'excellence est une grande occasion qui nous est donnée pour une changement de l'enseignement afin qu'il mobilise plus l'élève dans des démarches rationnelles porteuses de sens. Nos disciplines, quelles qu'elles soient sont au service de cette analyse pour expliquer le monde et ce monde est pluridisciplinaire par nature.

(Sprimont, 2018-02-04)

#50

Pour un changement de paradigme où la complémentarité des discipline et l'interdisciplinarité aident nos enfants à mieux comprendre et analyser les enjeux sociaux !

(Bertrix, 2018-02-04)

#51

Je suis enseignante en Histoire Géo et les sciences humaines sont pour moi une absolue nécessité aux nouvelles générations pour ne pas répéter les erreurs du passé et pour développer leur esprit critique !

(Bastogne, 2018-02-04)

#56

Convaincue du meilleur sens que peuvent avoir ces disciplines intégrées!

(Liège, 2018-02-04)

#60

Je suis d accord avec ces remarques

(Embourg , 2018-02-05)

#61

Je suis pour l'interdisciplinarité, le décloisonnement, l'approche intégrée.

(Liège, 2018-02-05)

#81

- Parce que les réformes se succèdent ('rénové' fin des années '70 du siècle passé ; approche par compétences en 1999-2000) et que JAMAIS les enseignants n'ont été VÉRITABLEMENT consultés (quoi qu'en disent le pouvoir et certains médias) ;
- Parce que les concepteurs de programmes, toutes disciplines confondues, ne se concertent que peu, voire pas du tout (un véritable gaspillage, tant certaines notions sont purement et simplement transversales) ;
- Parce que j'ai le souci de mes plus jeunes collègues qui ont entamé un métier passionnant dans une discipline particulière qui risque d'être noyée dans un 'meltingpot' plutôt imbuvable ;
- Parce que nos enfants et petits-enfants ont le droit de bénéficier d'un enseignement public de qualité.

(La Bruyère, 2018-02-05)

#84

Je n'aime pas les formules ronflantes et prétentieuse comme "Pacte d'exellence".
Il faut revenir au bon sens.

(Herstal , 2018-02-05)

#91

je suis convaincue par les arguments avancés et par des approches intégrées et intégratrices.

(Liège, 2018-02-05)

#102

Je suis prof d'histoire dans le degré supérieur. Mes élèves eux-mêmes me disent que le cours d'histoire est important et les aide à mieux comprendre leur présent. D'année(s) en année(s), leurs connaissances générales sont de plus en plus faibles. Réduire encore le cours d'histoire (ou autre) ne serait pas du tout égalitaire (but du pacte d'excellence?). Seuls ceux dont les parents ont la culture et surtout la transmettent auront une bonne vision du monde, de l'actualité, etc.... J'ai peur....

(Laaneffe, 2018-02-06)

#103

Je signe en tant que professeur d'histoire en secondaire.

(ottignies, 2018-02-06)

#107

Que l'enseignement doivent s'inscrire dans la réalité des élèves me semblent une évidence. Pour tout le reste, ils ont internet et toutes ses dérives.

(Bruxelles, 2018-02-07)

#112

je trouve que ce texte est profondément juste et que cette façon d'enseigner les sciences humaines motiverait davantage les élèves.Le potentiel est énorme

(5100, 2018-02-07)

#121

Pour une approche des sciences humaines plus juste et plus sensée! ✊

(Liège, 2018-02-10)

#124

Je signe car je suis enseignant en sciences humaines et je partage cette vision des choses.

(Andrimont, 2018-02-10)

#130

Je signe parce que je suis enseignant en sciences humaines!

(Dalhem, 2018-02-11)

#137

Je suis enseignant en sciences humaines (AESI).

(Remouchamps, 2018-02-12)

#145

L'actuel tronçonnage en matières juxtaposées, enseignées de surcroît dans un horaire journalier et hebdomadaire souvent absurde, encourage les étudiants à calculer ce qui "compte" ou "ne compte pas ou peu". Il empêche de développer une intelligence systémique, qui relie, qui questionne, qui cherche du sens. Il légitime également chez bien des enseignants le sentiment d'une toute puissance isolée, qui n'a pas de comptes à rendre, qui n'a pas à se confronter au travail collectif ni à d'autres regards provenant d'une approche complémentaire de la complexité.

(Marche en Famenne, 2018-02-15)

#151

Prof en formation historique et géographique +EDM+actualité
ISV Uccle

(Bruxelles, 2018-02-20)