Pas les marronniers

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#149

2013-02-14 08:45

"Il est préférable de maintenir un maillage social, un ciment qui lie la communauté malgré les difficultés, à la construction d'une route", estime l'élu socialiste. "On ne peut pas ajouter de la crise à la crise. Mettre un frein à nos politiques d'investissement, c'est aller dans le mur", oppose Etienne Butzbach, maire socialiste de Belfort.
Dans le tourbillon de la crise, l'angoisse des maires face à la détresse sociale
LE MONDE | 05.02.2013 Par Eric Nunès

Réponses


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#150 Re:

2013-02-14 23:54:53

#149: -

J'ai mis une intervention du Maire de Belfort, parue sur le journal Le Monde, sans plus juste pour information, je n'en pense rien. Voila d'autres extraits :

Que cela soit à Alès (Gard), Montbéliard (Doubs) ou Angers... le même lancinant écho revient aux oreilles des élus. "Du travail ! Du travail ! Du travail !", résume un employé municipal montbéliardais.

"Lors de mes permanences, je suis frappé par le nombre de demandes d'emplois, de sollicitations pour l'obtention d'un job, et ce parfois jusqu'à la supplication", confirme Eric Houlley, maire socialiste de Lure (Haute-Saône).

Dans l'arsenal local de lutte contre l'appauvrissement, les maires citent les emplois municipaux. "J'ai signé un contrat d'avenir et un contrat d'accompagnement dans l'emploi, résume le maire de Lure, 8 000 habitants. Je ne peux pas aller plus loin."

"Dans le contrat qui lie la ville de Lure à Véolia pour la distribution d'eau, il est prévu un fonds de solidarité auquel je peux faire appel pour éviter les coupures", explique Eric Houlley.

"Je n'ai pas de réponse miraculeuse", déplore Eric Houlley. "Désappointement", "désillusion", "déception" sont les mots rapportés par ces maires lorsqu'ils entendent leurs concitoyens qualifier action et discours politique.