Réhabilitation de l'ancienne maison d'arrêt de Rennes

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Ce sujet de conversation a été automatiquement créé pour la pétition Réhabilitation de l'ancienne maison d'arrêt de Rennes.


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#1

2012-06-06 22:49

Oui très belle idée , espérons que cela puisse se concrétiser.

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2012-06-07 10:54


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2012-06-07 10:58


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2012-06-07 11:00



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#5 Re:

2012-06-12 15:18

#1: - merci pour votre reponse, merci de relayer la petition, nous sommes à plus de 90 signatures de commerçants !!!

 

 

 

 


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#6

2012-06-12 16:32

Projet très bien conçu qu'il serait souhaitable de voir être réalisé.
vatefairefoutre

#7 Re:

2012-07-04 13:03

#1: -  

 dommage que le minitel soit disparu, mais heureusement que les pages jaunes existent pour des adresses de commerçants


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#8

2013-07-09 19:53

Mes anciens collègues, anciens taulards ou travailleurs détenus en régime de semi-liberté appelaient à l'époque la prison Jacques Cartier ainsi : "Jacquot". Autrefois "l'Etat Gendarme" au XIXième siècle montrait son pouvoir en emprisonnant en centre de la ville, pour l'exemple. Ce quartier de malheur, de mauvaise fortune, dans lequel des hommes payaient leur actes à la société doit rester un quartier d'exemple pour la République! Ne le bradons pas à la spéculation immobilière privée, ne serait ce que par respect pour les enfants de taulards qui n'ont pas choisi la vie de leurs parents! La misère et le désespoir s'hérite, oui c'est de ce constat que vient la pensée socialiste. Cette cité fermée doit abattre ses murs et devenir une cité ouverte au service des jeunes des classes populaires, pour leur donner envie de s'accomplir en tant qu'adultes responsables, un lieu de formations professionnelle en plein centre ville, lieu de vie en communautés sur le modèle de cités universitaires ouvertes à tout public, personnes pauvres et étudiants, lieu d'apprentissage des arts, le théâtre, la musique, les arts plastiques, lieu d'engagement associatif après le travail pour que ceux qui se sentent capables d'aider aident, animent, enseignent, partagent, donnent, et reçoivent aussi, c'est cela la fraternité. Ce noble défi du "vivre ensemble", oui "tous ensemble" sans oublier ceux dont on ne parle jamais ou très mal : les personnes de bonne volonté qui ont des rêves mais à qui la société verrouillée dit "vous n'êtes pas capables"! L'ancienne prison doit être une vitrine, un lieu d'espoir pour tous ces personnes qui passent devant, ces voyageurs en train, ces habitants de la partie sud de la ville, un trait d'union entre les deux mondes de Rennes, le centre et les quartiers. S'il n'y a pas d'argent pour payer des bâtisseurs, nous le feront nous mêmes, nous les citoyens ouvriers et ouvrières! Si les gens qui se disent socialistes ne comprennent pas mon propos, s'ils ont oublié ce que disait Victor Hugo sur les prisons, je ne suis pas Cassandre mais je peux pronostiquer qu'ils perdront les élections en 2014! Et pour ma part j'émigrerai dans une ville moins égoiste!

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#9

2013-07-09 20:03

Mes anciens collègues, anciens taulards ou travailleurs détenus en régime de semi-liberté appelaient à l'époque la prison Jacques Cartier ainsi : "Jacquot". Autrefois "l'Etat Gendarme" au XIXième siècle montrait son pouvoir en emprisonnant en centre de la ville, pour l'exemple. Ce quartier de malheur, de mauvaise fortune, dans lequel des hommes payaient leur actes à la société doit rester un quartier d'exemple pour la République! Ne le bradons pas à la spéculation immobilière privée, ne serait ce que par respect pour les enfants de taulards qui n'ont pas choisi la vie de leurs parents! La misère et le désespoir s'hérite, oui c'est de ce constat que vient la pensée socialiste. Cette cité fermée doit abattre ses murs et devenir une cité ouverte au service des jeunes des classes populaires, des personnes oubliées, isolées sans soutien ou sans argent, pour leur donner envie de s'accomplir en tant qu'adultes responsables, un lieu de formations professionnelle en plein centre ville, un lieu de vie en communauté autour de l'échange sur le modèle de cités universitaires ou des cités d'hébergement AFPA, ouvertes à tout public, personnes pauvres, SDF, malades, anciens isolés mais aussi les étudiants, un lieu d'apprentissage des arts, le théâtre, la musique, les arts plastiques, un lieu d'engagement associatif voire politique après le travail pour que ceux qui se sentent capables d'aider aident, animent, enseignent, partagent, donnent, et reçoivent aussi, c'est cela la fraternité. Ce noble défi du "vivre ensemble", oui "tous ensemble" sans oublier ceux dont on ne parle jamais ou très mal : les personnes de bonne volonté qui ont des rêves mais à qui la société verrouillée dit "vous n'êtes pas capables"! L'ancienne prison doit être une vitrine, un lieu d'espoir pour tous ces personnes qui passent devant, ces voyageurs en train, ces habitants de la partie sud de la ville, un trait d'union entre les deux mondes de Rennes, le centre et les quartiers. S'il n'y a pas d'argent pour payer des bâtisseurs, nous le feront nous mêmes, nous les citoyens ouvriers et ouvrières! Si les gens qui se disent socialistes ne comprennent pas mon propos, s'ils ont oublié ce que disait Victor Hugo sur les prisons, je ne suis pas Cassandre mais je peux pronostiquer qu'ils perdront les élections en 2014! Et pour ma part j'émigrerai dans une ville moins égoiste! L'utopie ce n'est pas une folie, c'est ce qui n'existe pas encore mais qui peut exister demain.
Antoine Mahé Le Cam

#10 Place aux nouvelles idées! A gauche toutes!

2013-07-09 20:05

Mes anciens collègues, anciens taulards ou travailleurs détenus en régime de semi-liberté appelaient à l'époque la prison Jacques Cartier ainsi : "Jacquot". Autrefois "l'Etat Gendarme" au XIXième siècle montrait son pouvoir en emprisonnant en centre de la ville, pour l'exemple. Ce quartier de malheur, de mauvaise fortune, dans lequel des hommes payaient leur actes à la société doit rester un quartier d'exemple pour la République! Ne le bradons pas à la spéculation immobilière privée, ne serait ce que par respect pour les enfants de taulards qui n'ont pas choisi la vie de leurs parents! La misère et le désespoir s'hérite, oui c'est de ce constat que vient la pensée socialiste. Cette cité fermée doit abattre ses murs et devenir une cité ouverte au service des jeunes des classes populaires, des personnes oubliées, isolées sans soutien ou sans argent, pour leur donner envie de s'accomplir en tant qu'adultes responsables, un lieu de formations professionnelle en plein centre ville, un lieu de vie en communauté autour de l'échange sur le modèle de cités universitaires ou des cités d'hébergement AFPA, ouvertes à tout public, personnes pauvres, SDF, malades, anciens isolés mais aussi les étudiants, un lieu d'apprentissage des arts, le théâtre, la musique, les arts plastiques, un lieu d'engagement associatif voire politique après le travail pour que ceux qui se sentent capables d'aider aident, animent, enseignent, partagent, donnent, et reçoivent aussi, c'est cela la fraternité. Ce noble défi du "vivre ensemble", oui "tous ensemble" sans oublier ceux dont on ne parle jamais ou très mal : les personnes de bonne volonté qui ont des rêves mais à qui la société verrouillée dit "vous n'êtes pas capables"! L'ancienne prison doit être une vitrine, un lieu d'espoir pour tous ces personnes qui passent devant, ces voyageurs en train, ces habitants de la partie sud de la ville, un trait d'union entre les deux mondes de Rennes, le centre et les quartiers. S'il n'y a pas d'argent pour payer des bâtisseurs, nous le feront nous mêmes, nous les citoyens ouvriers et ouvrières! Si les gens qui se disent socialistes ne comprennent pas mon propos, s'ils ont oublié ce que disait Victor Hugo sur les prisons, je ne suis pas Cassandre mais je peux pronostiquer qu'ils perdront les élections en 2014! Et pour ma part j'émigrerai dans une ville moins égoiste! L'utopie ce n'est pas une folie, c'est ce qui n'existe pas encore mais qui peut exister demain.

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#11

2013-07-09 20:17

Et ce lieu symbolique ne doit pas devenir un énième quartier résidentiel sans âme! Seuls des idiots ou des personnes rendues insensibles par l'accumulation de richesses matérielles et la course au profit ou au salaire pourraient décemment vivre en hommes libres sur un tel lieu jadis voué à l'enfermement! Que les parents pensent à leurs enfants avant de leur annoncer : "nous vivons dans ce qui fut une prison". Un bon début ceux qui paieront nos retraites, les enfants du World trade Center, de la crise, et de la bêtise brutale et égoiste faite pouvoir les années Sarkozy! Montrons à tous ceux qui croient en l'avenir que les rennais aussi ont le droit d'imaginer leur cité!