Refus catégorique d'une faculté de pharmacie privée en Tunisie


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2011-06-25 12:31

Pour réagir au commentaire du bureau de l'UGET, il y aurait quelques rectifications su ce que vous avez dit:
1 - Les universités aux États Unis sont parfaitement libres d'accepter qui elles veulent mais en ayant le choix on accepte que les meilleurs ou ceux qui paient.
2 - L'opposition au projet de la fac privée cache en fait le malaise en Tunisie d'une profession qui n'arrive pas à évoluer qui préfère se renfermer sur elle même avec pour seule perspective d'avenir celui de l'ouverture d'une officine.
3 - Le Liban n'a pas pu développer son enseignement étatique pour cause de guerre civile qui a duré des années ce qui a fait fuir leurs spécialistes et détruit leurs infrastructures donc ne comparez pas l'incomparable. Seuls les investissements privés pouvaient donner assez d'élan pour vite retrouver un enseignement de qualité.
4 - Un numerus clausus s'applique a une fac pas à des étudiants qui reviennent chez eux.
5 - Ne croyez pas que le chômage des pharmaciens va diminuer si on embête les fils de pharmaciens partis étudier à l'étranger, ils attendront autant qu'il le faut que leurs enfants reviennent et personne d'autre n'aura leur pharmacie.
Conclusion: au lieu de dire non a tout et a tout le monde réfléchissez plutôt aux belles perspectives que vous offre la pharmacie en oubliant les officines : recherche, industrie.......