CONTRE la loi ESR "Fioraso", parce que POUR la langue française !


Visiteur

/ #698

2013-03-29 19:50

L'anglais, une arme de destruction massive.
Les Anglos l'utilisent comme outil d'asservissement avec le relais en France des "Youngs leaders" (et leurs sympathisants).
Vous savez ce sont ces Français des médias, de la politique, des affaires qui, après avoir reçu ce titre, sont aidés dans leur carrière par les États-Unis qui mettent à leur disposition leurs réseaux d'influence et des moyens financiers afin d'atteindre des places de chefs. En contre-partie bien sûr, ils doivent faire allégeance, en quelque sorte, aux USA.
François Hollande, notre président, est l'un des leurs.
Vous mieux comprendre maintenant ? cette impérieuse nécéssité de nous imposer l'anglais, le nouveau sésame de la réussite qu'ils disent.
Parce qu'il faut absolument une langue unique pour le marché unique que les USA nous préparent dans le dos (l'UE n'étant qu'une étape préparatoire), et cette langue unique évidemment ça doit être la leur ! (Peillon l'impose dès le CP)
Et ils ne s'arrêteront pas là. Après ils nous imposeront leurs normes, leurs réglementations…Par exemple, finie l'exception culturelle française dont ils ne voulaient pas. Nos futurs maîtres nous la supprimerons. Plus d'avance sur recette, plus de financement par subventions constituées par un pourcentage prélevé sur les billets… Libre concurrence non faussée où seuls les produits culturels ricains avec leur force de frappe existeront.
Puisque je parlais de culture, autre domaine celui des OGM : la France a dit non, l'UE a dit oui. Ça sera donc oui, parce que les Américains le veulent ainsi.
Ça sera la même chose avec les gaz de schistes et …
Nous devons donc obéir en tout.
Questions :
- La France continue-t'elle a être un pays ?
- Avons-nous à la tête de l'État un président ou un gouverneur ?
- Étes-vous pour l'indépendance ou l'empire ?
- Pensez-vous que derrière le libre échange se cache notre annexion ?

La question de la langue renvoie à toutes les autres.

Pour finir, C. Hagège, encore lui, dit : imposer sa langue c'est imposer ses idées.
J'ajoute : abandonner sa langue c'est renoncer à exister.

On est dans de beaux-draps !
Et si nous décidions d'en changer ?