EBOLA : NON à la CAN en Janvier 2015 - au Maroc

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#1

2014-10-13 22:56

on a pas besoin du virus Ebola !

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#11 Re:

2014-10-20 15:44:00

EBOLA: DEUX NOUVEAUX CAS SUSPECTS À CASABLANCA Par Fatima Moho

( Twitter) le 19/10/2014 à 22h11  © Copyright : Brahim Taougar - Le360 Kiosque360.

Deux ressortissants africains suspectés de porter le virus Ebola ont semé la panique à Casablanca. Ils sont mis en quarantaine à l'hôpital Moulay-Youssef. Un vent de panique plane sur les services sanitaires de Casablanca, suite à l'arrivée, samedi dernier, de deux patients suspectés d'être porteurs du virus Ebola, selon Assabah dans son édition de ce lundi 20 octobre. Citant des sources sanitaires, il s'agirait d'une femme et d'un enfant originaires d'un pays d'Afrique subsaharienne. Les deux patients ont été acheminés vers l'hôpital Moulay-Youssef, un établissement de santé désormais centre de référence en matière de veille relative au virus de la fièvre hémorragique, selon les normes de l'Organisation mondiale de la santé. Ils devaient subir des analyses médicales pour le dépistage de la maladie. Avant qu'ils ne soient mis en quarantaine dans cet établissement, les deux patients ont été admis à l'hôpital des enfants et aux urgences du CHU Ibn-Rochd. L'enfant a été allongé sur un lit normal avant que des symptômes de la maladie d'Ebola ne soient détectés. L'enfant, selon Assabah, a vomi à plusieurs reprises sur le lit de l'hôpital qui n'a pas été aseptisé par la suite. Après son transfert à l'hôpital Moulay-Youssef, une femme de ménage a été, certes, chargée de stériliser le lit, sans pour autant utiliser des produits adéquats, indisponibles à l'hôpital. Elle s'est contentée de l'eau de javel. Ce qui n'est pas suffisant selon les professionnels. Assabah avance avoir essayé en vain de joindre le directeur de l'hôpital Moulay-Youssef pour s'informer au sujet des deux cas mis en quarantaine. Le directeur régional de la Santé, pour sa part, n'a pas hésité, selon le quotidien, à raccrocher au nez des journalistes, qui restent sur leur faim en ce qui concerne l'état de santé des deux cas suspects et les risques de contamination des personnes qui étaient en contact avec eux, ou des professionnels de la santé qui les ont auscultés.