EBOLA : NON à la CAN en Janvier 2015 - au Maroc

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#1

2014-10-13 22:56

on a pas besoin du virus Ebola !
MS

#2

2014-10-14 07:49

L'objectif de cette pétition est de démontrer que la volonté des citoyens Marocains est bien supérieure aux pressions des lobbys financiers qui se cachent derrière la CAF ( sponsor, retransmission Télé ...). Vous savez, comme moi, la cupidité et la faiblesse de la CAF ( la FIFA aussi) devant ces lobby.
Plus nous serons nombreux, plus notre gouvernement sera courageux pour refuser cette CAN.
MS

#3

2014-10-14 07:54

abcdef abcdef

NB. Nous sommes contre personne. Nous voulons juste nous protéger contre cette épidémie.


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#4

2014-10-14 16:07

L'organisation de la CAN dans les conditions sanitaires actuelles présente un énorme risque sur la santé des concitoyens. D'autant plus que les récupérations sur notre politique tourisque, les activités et les emplois liés à ce secteur, seront systématiquement néfastes.

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#5

2014-10-15 17:05

CAN = no man's land continent of africa


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#6

2014-10-15 18:54

j'opte pour la sante et bien-etre de tous plutot qu'une can2015d'ebola epidemie que les chevronnes de la medecine mondiale n'ont pas pu trouver un vaccin jusqu'alors,epargnez nous de cette can2015d'ebola maudite s.v.p merci
MSE

#7 Le monde perd la course contre Ebola

2014-10-15 23:05

Le monde perd la course contre Ebola

L'Organisation mondiale de la santé prévoit 5000 à 10.000 nouveaux cas par semaine en Afrique avant la fin de l'année.

MS

#8 Foot - France

2014-10-17 11:48

Le président de l'Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas a fait part de ses inquiétudes par rapport au virus Ebola. Il a expliqué notamment ses craintes pour ses ressortissants africains.

MS

#9 Ebola: le football espagnol s'effraie à son tour

2014-10-17 11:53

Ebola: le football espagnol s'effraie à son tour


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#10

2014-10-17 15:36

VU le nombre restreint des marocains qui parviennent à communiquer avec les langues étrangères il s'avère impératif de mettre en ligne une autre pétition en arabe afin de retenir l'attention d'une large population, merci.

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#11 Re:

2014-10-20 15:44

EBOLA: DEUX NOUVEAUX CAS SUSPECTS À CASABLANCA Par Fatima Moho

( Twitter) le 19/10/2014 à 22h11  © Copyright : Brahim Taougar - Le360 Kiosque360.

Deux ressortissants africains suspectés de porter le virus Ebola ont semé la panique à Casablanca. Ils sont mis en quarantaine à l'hôpital Moulay-Youssef. Un vent de panique plane sur les services sanitaires de Casablanca, suite à l'arrivée, samedi dernier, de deux patients suspectés d'être porteurs du virus Ebola, selon Assabah dans son édition de ce lundi 20 octobre. Citant des sources sanitaires, il s'agirait d'une femme et d'un enfant originaires d'un pays d'Afrique subsaharienne. Les deux patients ont été acheminés vers l'hôpital Moulay-Youssef, un établissement de santé désormais centre de référence en matière de veille relative au virus de la fièvre hémorragique, selon les normes de l'Organisation mondiale de la santé. Ils devaient subir des analyses médicales pour le dépistage de la maladie. Avant qu'ils ne soient mis en quarantaine dans cet établissement, les deux patients ont été admis à l'hôpital des enfants et aux urgences du CHU Ibn-Rochd. L'enfant a été allongé sur un lit normal avant que des symptômes de la maladie d'Ebola ne soient détectés. L'enfant, selon Assabah, a vomi à plusieurs reprises sur le lit de l'hôpital qui n'a pas été aseptisé par la suite. Après son transfert à l'hôpital Moulay-Youssef, une femme de ménage a été, certes, chargée de stériliser le lit, sans pour autant utiliser des produits adéquats, indisponibles à l'hôpital. Elle s'est contentée de l'eau de javel. Ce qui n'est pas suffisant selon les professionnels. Assabah avance avoir essayé en vain de joindre le directeur de l'hôpital Moulay-Youssef pour s'informer au sujet des deux cas mis en quarantaine. Le directeur régional de la Santé, pour sa part, n'a pas hésité, selon le quotidien, à raccrocher au nez des journalistes, qui restent sur leur faim en ce qui concerne l'état de santé des deux cas suspects et les risques de contamination des personnes qui étaient en contact avec eux, ou des professionnels de la santé qui les ont auscultés.