Condition de travail au CHBA


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2015-02-28 09:21

Le CRIF bluffé par un Hollande des grands soirs

Hier soir, lors de la soirée bénie dédiée au dîner de l’Avant-garde, notre président bien-aimé, François Hollande, a exercé son unique talent d’orateur pour nous livrer un discours dont lui seul a le secret.

Un discours épatant et inattendu, axé autour du combat contre « l’antisémitisme », qui est parvenu à surprendre un auditoire ébahi par la grâce et l’éloquence de celui qui fait la fierté de tous les Français aux quatre coins du globe, redorant le blason de la Résistance française face à la haine, à la barbarie et aux points de côté.

François Hollande, n’en déplaise aux grincheux, est un grand homme d’État qui fait passer l’intérêt collectif au-dessus de ses ambitions personnelles. Son aura rappelle au monde que la France reste une grande nation sur la scène internationale, de part son influence, comme l’entretenait Charles De Gaulle en son temps.

En effet, les paillettes, le dîner à 900 € et les costards à 10 000 € pièces affichés lors de ce dîner mondain et avant-gardiste ne sont pas sans nous rappeler l’ambiance conviviale et fraternelle qui caractérisait la vie du maquisard pataugeant dans la boue et le sang, se nourrissant de racines afin de ne pas subir les affres de la famine, coincé qu’il était entre les lignes allemandes armées jusqu’aux dents.

Tel Jean Moulin, François Hollande s’est illustré en affirmant sa résistance à la haine, faisant fi des risques de baisse dans les sondages, déjà en dessous du concevable.
Un courage exemplaire qui devrait inspirer tous les hommes politiques au service du peuple de l’Avant-garde.

Contre vents et marées, François Hollande dénonce avec fougue les sources de l’antisémitisme, qui trouvent repère au sein des 10 millions d’islamo-bamboulas français pro-palestiniens et au sein des 50 millions de « Français de souche » fascistes, soit la quasi-totalité du peuple français excepté l’Avant-garde.

François Hollande appuie avec sagesse sur l’origine ethnique des profanateurs du cimetière juif du Bas-Rhin, des « Français de souche », et met l’accent sur l’abomination de l’acte ainsi que sur leur ignorance quant à la symbolique juive affichée sur les tombes, car il va de soi que si la symbolique était chrétienne, cela n’aurait été qu’un délit mineur de jeunes étourdis ne cherchant qu’à défendre de façon fort maladroite la laïcité.

Notre cher François Hollande ne se ménage pas : il enchaîne les punchlines avec gourmandise et lance que « les juifs sont chez eux en France ; ce sont les antisémites qui n’ont pas leur place dans la République », déclaration applaudie par une salle conquise.
C’est avec audace qu’il annonce à la quasi-totalité de la population française leur déportation vers d’autres contrées… un homme politique sans langue de bois tel qu’on aimerait en voir plus souvent.

Courageux, François Hollande annonce avec détermination son intention de criminaliser et de punir avec sévérité toute personne qui aurait l’outrecuidance de ne pas baisser le regard au passage d’un être de Lumière.

Un président qui rassure et qui redonne de l’estime et de l’amour-propre au peuple de France, qui retrouve en cette divine occasion un père spirituel digne de ce nom.

Certains cerveaux malades, complètement déconnectés de la réalité mondaine, n’ont évidemment pas hésité une seule seconde à blasphémer cet homme pourtant si intègre en le caricaturant en chien docile.

 

La haine et le fascisme ne passeront pas !
Pour la paix avant-gardiste, exigeons la mort aux « Français de souche » et aux islamo-bamboulas !