TOGO : Les voleurs et les pilleurs de la République sous Faure Gn

TOGO : Les voleurs et les pilleurs de la République sous Faure Gnassingbé depuis 2005

http://www.togosite.com/images/lesvoleursdutogo.jpgDepuis l’arrivé du fils bien « aimé » de Eyadéma, au pouvoir dans un bain de sang de plus de 1300 mort en 2005 après la mort du Général Etienne Gnassingbé Eyadéma un dictateur sanguinaire, le prince « héritier du trône des Gnassingbé » a favorisé le grand banditisme, les voles, les pillages systématiques, les assassinats, les tueries, les tortures, les trafiques de drogues et les prostituti…ons au sommet de l’Etat.

 

Sous le règne du fils depuis 2005 à ce jour, on dénombre plusieurs riches et milliardaires. Ces Hommes autour de lui on passé leurs temps a volé et a pillé le pays, à un point que le Premier magistrat du Togo a reconnu et a dire publiquement qu’il n’y a qu’un groupe qui pille le pays.

Lui-même connaît bien ce groupe de voleur et de pilleur. Qu’attend-il ?

Ce groupe, ce sont ces amis, ces intimes, ces parents y compris sa propre mère et ces officiers véreux et poltrons de l’armée togolaise.
Il faut absolument qu’un audite et une enquête soit diligentée contre ces personnes. La justice togolaise doit faire son travail.

Si ce n’est pas le cas, le moment viendra le peuple même fera sa justice envers les pilleurs et les voleurs de la République.

Au moment sur la terre de nos aïeux, des gens n’ont même pas un seul repas par jour, d’autres ramassent le denier public sans être inquiété.
L’homme de Pya trouve ça normal et vient dire gaillardement sans honte que des minorités volent et pillent le Pays.
Dans un pays normal, lui-même doit rendre le tablier. Mais comme c’est leur royaume, ce n’est pas possible de quitter le trône. Mais de gré où de force il va quitter.

La liste des voleurs et des pilleurs de deniers publics sous Faure Gnassingbé :

1-Faure Gnassingbé
2-Victoire Dogbé-Tomégah (intime de Faure Gnassingbé)
3- Alexis Aquéréburu
4-Ingrid Awadé (la pyromane et intime de Faure Gnassingbé)
5-Colonel Didier Baoubadi Bakali
6-Julie Béguédou (intime de Faure Gnassingbé)
7-Général Atcha Titikpina
8-Gilbert Bawara
9-Marc Bidamon
10-Kokovi Cina Lawson (intime de Faure Gnassingbé)
11-Sonia Lawson (intime de Faure Gnassingbé et petite sœur de Cina Lawson)
12-Orthè Ayassor
13-Abass Bonfoh
14-Rébécca Atayi (intime de Faure Gnassingbé)
15-Colette Aquéréburu (mère de Cina Lawson et de Sonia Lawson)
16-Colonel Massina Yotroféi
17-Général Félix Abalo Katanga
18-Sabine Mensah (mère de Faure Gnassingbé)
19-Contre Amiral Fogan Adégnon
20-Jonathan Tontonvi Fiawoo
21-Noël De Poukn
23-Sam Bikassam
24-Barry Moussa Barqué
25-Charles Debbasch

Ces hommes et ces femmes ont détruit l’économie togolaise, ont volés et détournés le denier public. Ils ont commis des crimes économiques et financiers.
 La Nouvelle

......................................................................................

Frankfurt den,11.01.2017
Seigneur nous te prions écoute la voix du Togo

Frankfurt den,11.01.2017
C'est l'union qui fait la force prions ensemble pour que le Togo soit Exaucer.

Seigneur nous ne somme pas digne de te recevoir mais dit nous seulement un mot pour que notre pays le Togo soit guérir
Amen.

Lord we are not worthy to receive you but tell us only one word for our country Togo to be cured.
Amen.

Herr, wir sind nicht würdig, dass du zu empfangen, sondern nur sagte ein Wort unserem Land Togo zu summieren ist die Heilung
Amen.

http://www.honorarkonsulat-togo.de/img/togo_map_newcol.jpg

 

.................................................................................

 

Togo: un «nouveau» gouvernement avec une majorité d’anciens ministres

Il aura fallu un peu plus de deux mois pour que les Togolais connaissent leur nouveau gouvernement, après la présidentielle du 25 avril dernier qui a porté Faure Gnassingbé à la tête du pays pour un troisième mandat. La composition du premier gouvernement du Premier ministre Komi Selom Klassou est connue depuis ce dimanche. On s'attendait à du nouveau, mais sur 23 ministres, 10 sont des nouveaux, et l’ouverture vers l'opposition est maigre.

Le gouvernement de Komi Selom Klassou, nommé Premier ministre le 5 juin dernier après avoir été premier vice-président de l'Assemblée nationale, compte 23 membres, dont 10 nouveaux. Plusieurs anciens ont conservé leurs portefeuilles ou voient leurs prérogatives renforcées. La liste complète de la composition de ce nouveau gouvernement a été dévoilée ce dimanche 28 juin, un peu plus de deux mois après la présidentielle du 25 avril, dont les résultats sont toujours contestés par le principal challenger de Faure Gnassingbé, Jean-Pierre Fabre.

Parmi les anciens, Adji Oteth Ayassor, devient ministre d’Etat - le seul de ce nouveau gouvernement. Outre l’Economie et les Finances qu’il portait déjà, il se voit confier aussi la Planification et la Prospective.

L’ancien ministère des Travaux publics change de nom et devient ministère des Infrastructures et des transports, mais garde son titulaire : Ninsao Gnofam.

Autre changement de nom de ministère : celui de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, qui devient le ministère des Enseignements primaires et secondaires, confié à un nouveau venu, Komi Palamwe Tchakpele. Il devra se préparer à la fronde des enseignants qui attendent la revalorisation de leur statut.

De même, Guy Madje Lorenzo, jusque-là conseiller économique à la présidence, prend les rênes du ministère de la Communication qui se voit adjoindre, outre la Culture, la Jeunesse et les sports. Un secteur miné par les jeux d’intérêts.

Le ministère de la Santé – qui était rattachée aux services du Premier ministre dans le précédent gouvernement - échoit à un professionnel du secteur : le Pr. Moustapha Midjiawa, qui enseigne à la faculté mixte de pharmacie et de médecine de l’université. Il sait que les hôpitaux togolais sont vétustes et nécessitent un renouveau pour la santé des citoyens togolais.

Autre entrée remarquable, celle du premier vice-président de l’Union pour la république (UPR), Georges Kuwawou Aïdam, qui remplace le doyen Brim Bouraïma-Diabacté de l’Union des forces de changement, le parti de Gilchrist Olympio, qui se retrouve avec un seul ministre au gouvernement. Tout comme la Convergence patriotique panafricaine de l’ancien Premier ministre Edem Kodjo.

Un jeu de chaise musicale à noter, enfin : Gilbert Bawara passe de ministre de l’Administration territoriale à celui de la Fonction publique, du Travail, de l’Emploi, de la Réforme administrative, de la Sécurité sociale et de la Promotion du dialogue social. La Synergie des travailleurs du Togo l’attend de pied ferme, ce seront des invectives en perspective.

Enfin, la Défense n’a pas de ministère et le domaine reste rattaché au cabinet de la présidence, comme c’est le cas au Togo depuis décembre 2008.


■ La composition du gouvernement togolais

Premier ministre : M. Komi Selom Klassou
Ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, de la Planification et de la Prospective : M. Adji Oteth Ayassor
Ministre du Développement à la base, de l’Artisanat et de l’Emploi des jeunes : Mme Victoire Tomégah Dogbé
Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche : M. Octave Nicoué Broohm
Ministre de la Fonction publique, du Travail, de l’Emploi, de la Réforme administrative, de la Sécurité sociale et de la Promotion du dialogue social : M. Gilbert Bawara
Ministre des postes et de l’Economie numérique : Mme Cina Lawson
Ministre des Infrastructures et des Transports : M. Ninsao Gnofam
Ministre de la Sécurité et de la Protection civile : M. Yark Damehane
Ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et de l’Intégration africaine : M. Robert Dussey
Ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de l’Hydraulique : M. Ouro-Koura Agadazi
Ministre de l’Administration territoriale, de l’Administration et des collectivités locales : M. Payadowa Boukpéssi
Ministre du Commerce, de l’Industrie, de la Promotion du secteur privé et du Tourisme : Mme Bernadette Legzim-Balouki
Ministre de la Justice et des relations avec les Institutions de la République : M. Christ Agbétomé
Ministre de l’Urbanisme, de l’Habitat et du Cadre de vie : M. Fiatuwo Sessenou
Ministre des Enseignements primaires et secondaires : M. omi Palamwé Tchakpélé
Ministre de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle : M.Georges Aïdam
Ministre de l’Environnement et des Ressources forestières : M. André Johnson
Ministre de la Communication, de la Culture, de la Jeunesse, des Sports et de la Formation civique : M. Guy Madjé Lorenzo
Ministre de la Santé : Pr Moustapha Midjiyawa
Ministre des Mines et de l’Energie : M. Ably Bidamon
Ministre de l’Action sociale, de la Promotion sociale et de l’Alphabétisation : Mme Tchabilengui Kolani Yantcharé
Ministre auprès du ministre d’Etat chargé de l’Economie et des Finances, chargé de la Planification et de la Prospective : M. Kossi Assimaïdou
Ministre délégué auprès du ministre d’Etat, ministre de l’Economie et des Finances, chargé du budget : M. Sani Yaya
Ministre auprès de la Présidence de la République : M. Batienne Kpabré Silly

....................................................................

 

SOUTIEN AU DROIT NATUREL DE TOUS LES PERSONNES À LA VIE, À L'ÉVOLUTION, À L'ÉQUILIBRE, À L'AMOUR, À LA JOIE, À L'HARMONIE ET À LA PAIX

  Mesdames et Messieurs,

Je veux contribuer à une vie et un avenir meilleurs pour nous tous, pour nos enfants et pour les enfants de nos enfants avec ma compréhension, connaissance et amour de ce monde.

Pour cela j'ai réalisé ce projet cadre qui soutient le droit des gens à la vie, l'évolution, l'équilibre, l'amour, la joie et la paix.

Le projet "LIFE RESTART 2017" peut comprendre et peut soutenir par la signature ici: http://ziuamondialaaconstiintei.org/en_US/project-life-restart-2017/
et
  Pétition pour la Journée mondiale de la Conscience qui soutient la consolidation des valeurs humaines et le relèvement de l'humanité vers des niveaux supérieurs de Conscience. Cela peut comprendre et peut soutenir par la signature ici: http://ziuamondialaaconstiintei.org/en_US/petitie-pentru-ziua-mondiala-a-constiintei/

 

..........................................................................................

 

Grave révélation sur le pacte colonial entre la France et quelques pays africains

 http://regardsurlafrique.com/wp-content/uploads/2016/11/1386442490-702x336-300x144.jpg

La chaîne de télévision Vox Africa vient de diffuser une information qui fait froid dans le dos et qui pourrait sans doute renforcer le sentiment anti-français en Afrique.

Selon cette chaîne panafricaine, la France oblige encore de nos jours, plusieurs pays d’Afrique francophone à payer un impôt colonial à la France. En d’autres termes, il y a encore des pays africains qui reversent d’importantes sommes d’argent à la France pour la simple raison que ces pays d’Afrique francophone sont redevables envers la France pour les avoir colonisés.

Cet impôt colonial continue d’être versé malgré l’indépendance des pays africains. Aujourd’hui, 13 pays d’Afrique Francophone ainsi que la Guinée-Equatoriale sont obligés par la France de mettre 85% de leurs réserves à la banque centrale de France.

Ces quatorze pays africains qui sont obligés de payer l’impôt colonial et de verser 85% de leurs réserves à la banque centrale de France sont entre autres: le Bénin, le Burkina Faso, la Guinée Bissau, la Côte d’ivoire, le Mali, le Niger, le Sénégal, le Cameroun, le Togo, la République Centrafricaine,le Tchad, le Congo Brazzaville,la Guinée-Equatoriale, et le Gabon.

 

La France permet à ces différents pays africains d’avoir accès à seulement 15% de leur argent. S’ils veulent avoir un montant un peu plus élevé que ces 15%, ils doivent nécessairement emprunter à des taux commerciaux. Il faut dire que cette démarche est grave de conséquence, car elle suscite la révolte des peuples africains qui se sentent grossièrement exploités mais aussi, cette méthode française d’exploitation du continent africain cultive une haine profonde de la part des Africains envers la France.

Plusieurs observateurs africains convergent sans exception à l’idée que les africains doivent mettre un terme à de tels accords qui visiblement maintiennent l’Afrique dans le sous-développement et par conséquent entraine le continent dans la misère permanente.

 

 

 

 

Françafrique : 440 milliard d’euros pillés par la France aux Africains

Lisez ça, c’est sidérant.

Par Ivoirebusiness – Scandale/ Françafrique. Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d’euros aux africains à travers le Franc CFA.

Cet esclavage économique est important pour l’essor de l’économie française. À chaque fois que ce trafic est susceptible de faillir, la France est prête à tout pour le reconquérir. Si un dirigeant de la zone CFA ne répond plus aux exigences de la France, Paris bloque ses réserves de devises et plus encore, la France ferme les banques dans ce pays jugé de «rebelle». C’est fut le cas de la Côte d’Ivoire avec Laurent Gbagbo.

Franc CFA quand les Allemands s’en mêlent : Un journal économique allemand accuse la France de piller chaque année 440 milliards d’euros aux africains à travers le Franc CFA.

« Le gouvernement français recueille auprès de ses anciennes colonies chaque année 440 milliards d’euros de taxes. La France repose sur les recettes venant d’Afrique, pour ne pas sombrer dans l’insignifiance économique, prévient l’ancien président Jacques Chirac.

Dans les années 1950 et 60, la France a décidé les colonies françaises d’Afrique à devenir indépendante. Bien que le gouvernement de Paris a accepté les déclarations d’indépendance formelles, elle a appelé les pays africains à signer un soi-disant «pacte pour la poursuite de la colonisation ». Ils y ont convenu d’introduire la monnaie coloniale française FCFA ( «Franc pour les colonies françaises en Afrique »), maintenir les écoles françaises et système militaire, et d’établir le français comme langue officielle.

Le Franc CFA est la dénomination de la monnaie commune de 14 pays africains membres de la zone Franc. Cette monnaie qui constitue un frein à l’émergence de ces pays a été créée en 1945, date où la France a ratifié les accords de Bretton Woods et procédé à la mise en oeuvre de sa première déclaration de parité au fonds monétaires international (FMI). Cela s’appelait à l’époque «Franc des Colonies Françaises d’Afrique».

En vertu de cette loi, 14 pays africains sont encore obligés de stocker environ 85 pour cent de leurs réserves en devises à la Banque de France à Paris. Ils sont sous le contrôle direct du Trésor français. Les pays concernés n’ont pas accès à cette partie de leurs réserves. Les 15 pour cent des réserves ne suffisant pas à leurs besoins, ils doivent emprunter des fonds supplémentaires du Trésor français au prix du marché. Depuis 1961, Paris contrôle toutes les réserves en devises étrangères du Bénin, du Burkina Faso, la Guinée-Bissau, Côte-d’Ivoire, Mali, Niger, Sénégal, Togo, Cameroun, République centrafricaine, Tchad, Congo, Guinée équatoriale et le Gabon.

En outre, ces pays doivent chaque année transférer leur «dette coloniale» pour l’infrastructure construite en France à Paris comme la Silicon Afrique 3 a rapporté en détail. La France prend environ 440 milliards d’euros par an. Le gouvernement à Paris dispose également d’un droit de premier refus sur toutes les ressources naturelles nouvellement découvertes dans les pays africains. Enfin, les entreprises françaises doivent avoir la priorité dans l’attribution des contrats dans les ex-colonies. En conséquence, il y a le plus d’actifs dans les domaines de l’approvisionnement, de la finance, le transport, l’énergie et l’agriculture dans les mains des sociétés françaises.

L’élite dirigeante dans chaque pays africain doit remplir ces créances obligatoires sans aucun autre choix. Les dirigeants africains qui refusent sont menacés d’assassinat ou de renversement de leur gouvernement. Au cours des 50 dernières années, on a eu 67 coups d’Etats dans 26 pays africains. 16 de ces 26 pays étaient d’anciennes colonies de la France.

Un exemple est le premier président du Togo Afrique de l’Ouest, Sylvanus Olympio, renversé par un coup d’Etat. Il avait refusé de signer le «Pacte pour la poursuite de la colonisation ». Mais la France a insisté pour que le Togo paie la compensation pour les infrastructures qui avaient été construites par les Français pendant la période coloniale. La somme équivaut en une année à environ 40 pour cent des ménages du Togo en 1963, obligeant le pays juste indépendant à atteindre rapidement ses limites économiques.

En outre, le nouveau président du Togo a décidé de supprimer et d’imprimer sa propre monnaie nationale, la monnaie coloniale française FCFA. Trois jours après cette décision, le nouveau gouvernement a été renversé par un groupe d’anciens légionnaires étrangers et le Président tué. Le chef des Légionnaires, Gnassingbe Eyadema, a reçu 550 euros de l’ambassade française pour l’attaque, selon le Telegraph britannique. Quatre ans plus tard Eyadema a été promu avec le soutien de Paris, nouveau président du Togo. Il a établi une dictature tyrannique dans ce pays d’Afrique occidentale et est resté au pouvoir jusqu’à sa mort en 2005.

Dans les années suivantes, le gouvernement de Paris a gardé le lien avec les anciens légionnaires pour renverser des gouvernements impopulaires dans ses ex-colonies. Ce fut le cas du premier président de la République centrafricaine, David Dacko, renversé par les anciens membres de la Légion étrangère en 1966.
La même chose est arrivée au Président du Burkina Faso, Maurice Yaméogo, et avec le président du Bénin, Mathieu Kérékou, auteur d’un putsch. Ce fut aussi le cas du premier président de la République du Mali Modiba Keita, qui a lui aussi été victime d’un coup d’Etat par d’ex-légionnaires en 1968.
La raison, quelques années plus tôt, il avait simplement décidé de se séparer de la monnaie coloniale française. »

 

 

 

INFO.

  Dimanche, 12  au 13 Janvier 2017

A toi peuple togolais

Nous venons d'avoir les informations détaillées sur les cérémonies rituelles de maintien au pouvoir organisées par l'actuel Président du Togo Faure Gnassingbé dans la nuit du 12 au 13 Janvier 2017.

Quartose ( 14  ) personnes au total composées de 13 garçons et d'une femme enceinte ont été clandestinement kidnappées à partir de toutes les préfectures du Togo. 
La scène s'est déroulée devant la petite Statue du Togo derrière le camp RIT du côté du cinéma LE TOGO.
Il était minuit lorsque
Faure Gnassingbé tout nu est venu s'assoir en face des 14 togolais kidnappés qui étaient aussi nus mais sauvagement ligotés pour la circonstance.

Après des rites incantatoires 12 des garçons ont été égorgés sur la personne dénudée de Faure Gnassingbé.
Le 13 eme garçon a été lui égorgé sur la femme enceinte.
Après quelques temps de pause rituelle la femme enceinte a été non pas égorgée mais torturée à mort à la main de façon atroce

Après cette séance Faure Gnassingbé tout couvert de sang est rentré se laver pour ensuite prendre l'avion pour le Mali afin d'assister au sommet de l'Union Africaine.

Cette information secrète que nous mettons à la disposition du public emmane directement d'une personne ayant participé au massacre gratuit des 14 togolais.

Selon nos recherches spirituelles dans le but de combattre les effets néfastes de cette cérémonie santanique, il est recommandé à chaque togolais de prier et d'allumer des bougies chaque deuxième jeudi de chaque nouveau mois jusqu'à la fin de l'année 2017.

Faure Gnassingbé sera vaincu dans le sang de Jésus Christ.

S'il vous plaît informer les togolais en partageant en masse ce texte dans la perspective de terminer avec le mal togolais.

Merci 

...............................................................................

 

Dimanche, 12 Février 2017 14:55

Chers compatriotes,
J’affirme que tout est possible et avec ambages que l’impossible est possible. Il est temps de se relever de votre découragement, de votre apathie et de votre déception pour vous accorder pleinement à notre infini créateur afin de devenir le véritable maître de votre chemin de vie et de notre destinée commune. Notre patrie est à la dérive. Je m’adresse donc à vous pour nous conduire vers l’harmonie totale avec Dieu et sur la voie d’une véritable renaissance spirituelle. Prenez conscience de votre puissance créatrice intérieure, hors des limitations, des angoisses et de la peur pour faire de chacun de vous l’acteur du changement, efficace et triomphant.

Le régime en place a corrompu et a avili ceux que vous aviez considérés comme nos leaders de l’opposition. Sans exception, Messieurs Edem Kodjo, Zarifou Ayeva, Léopold Gnininvi, Yaovi Agboyibo, Gilchrist Olympio, etc, ont collaboré et collaborent avec ce régime meurtrier et anachronique, de plus en plus dégradant, impudent et en déliquescence. Il n’a pas seulement perverti les hommes mais il a surtout ruiné économiquement notre pays. Il est également entrain de saborder nos traditions sociales et culturelles et de détruire les valeurs morales dans la société. Si vous acceptez ce nouveau despotisme d’abaissement et d’indignité, vous risquez de dénaturer en vous jusqu’à votre humanité et de laisser cette cruelle minorité antipatriotique vous ravaler sous la condition humaine. Il faut sans délai reconquérir nos libertés et rétablir notre dignité. De cette restauration ontologique dépendront notre bien-être, notre salut et l’avenir de nos enfants.

Je vous avais prévenu de ne pas participer à l’élection présidentielle de 2005 parce qu’il y aurait de la fraude, des violences et des crimes de sang brutaux. Il se prépare à nouveau une conjuration pour organiser un référendum constitutionnelle en vue de perpétuer l’actuelle gouvernance sordide. Ce régime en putréfaction avancé, qui ne favorise que les fraudeurs, les vénaux, les dépravés et les prédateurs étrangers, ne pourra jamais organiser des élections libres, transparentes et crédibles. Il ne faut plus laisser organiser une quelconque élection au Togo si le Président de la CENI n’est pas choisi au sein de l’opposition et particulièrement au sein du CAP 2015 et de ses alliés. Par conséquent, le PRR invite aux noms des patriotes togolais le CAP 2015, le groupe des 6 partis politiques, d’éventuels partis politiques résolument engagés dans l’opposition et la société civile en lutte pour le changement et l’alternance à entrer en négociation pour mettre en place une plate-forme d’entente pour le changement de régime. Nous demandons au peuple togolais, seul souverain et trop longtemps martyrisé de se préparer à répondre massivement à l’appel de cette plate-forme de salut public pour engager la lutte finale contre la nouvelle tyrannie obscure et méprisable, née de l’attentat monstrueux de l’année 2005.
La vérité, la justice sociale et la dignité doivent triompher ici et maintenant. Nos nouveaux oppresseurs doivent pâlir. Sachez que le torrent de l’énergie, que vous allez développer cette fois-ci, ne pourra être arrêté par aucune force ni aucune digue. Le peuple triomphera pour permettre de constituer une nouvelle gouvernance, qui devra mettre en application les nouveaux statuts de la police nationale. Le peuple triomphera pour qu’on améliore les conditions de salaire, de vie et de logement de nos travailleurs, de nos forces de défense et de sécurité, ainsi que celles de leurs familles. Le peuple triomphera pour faire reconstruire et moderniser nos commissariats, gendarmeries, hôpitaux, universités, lycées, collèges, écoles, marchés, routes, etc. Le peuple triomphera pour faire indemniser les victimes des incendies des marchés de Lomé et de Kara, des tueries de 2005, de Fréau Jardin du 25 Janvier 1993 et des violences barbares du 31 Janvier 1993, qui ont fait fuir du pays plus de 700.000 togolais, etc. Le peuple triomphera pour permettre d’accorder des subventions à nos agriculteurs, de donner des bourses de 30.000 FCFA par mois à nos étudiants, de financer convenablement nos établissements privés et de construire sur 10 ans au moins 50.000 logements sociaux. Le peuple triomphera pour autoriser le nouveau gouvernement à rétablir l’allocation de départ à la retraite, non seulement des fonctionnaires mais aussi aux travailleurs du privé, et pour mettre en place une sécurité sociale et une retraite pour les chauffeurs de transport de passagers. Le peuple triomphera pour permettre de doter notre pays des moyens de communication (Internet et téléphone mobile) performants et peu coûteux et d’écarter les médiocres et les gourgandines.
Je sonne ici le tocsin après ma rencontre avec le Président de l’ANC et Chef de file de l’opposition. Nous allons travailler ensemble pour faire cesser les maux dont souffre la masse de notre peuple et mettre un terme au mépris de Mr Faure Gnassingbé pour la constitution en vigueur, pour les convenances républicaines et pour la décence. Soyez assurés qu’aucun patriote ne sera de trop dans cette nouvelle et décisive bataille que nous allons engager ensemble avec vous pour un changement radical et pour l’alternance politique au Togo. La nouvelle trame du pouvoir avec la création d’une commission de prétendus intellectuels est grossière et scandaleuse, après les farces du CPDC, du CPDC rénové, de la CVJR, des dialogues de TOGO TELECOM, du projet de lois constitutionnelles rejeté par l’Assemblée nationale des compères, du HCCRUN, etc. Nous ne sommes pas dupes de la nouvelle utilisation de Mme Awa Nana pour pigeonner l’ANC et mystifier les étrangers.

Mr Faure Gnassingbé et sa minorité ne nous respectent pas. Il a nommé un étranger qui ne parle pas la langue officielle de notre pays pour diriger et contrôler les directions générales de nos douanes, des impôts et des régies financières. Ensemble, ils affament nos étudiants, abusent de nos enseignants et dédaignent nos femmes qui ont perdu leurs fonds de commerce dans les incendies des marchés de Lomé et de Kara. Ils font des sommets inutiles et coûteux au moment où des millions de nos parents manquent du minimum et n’ont ni eau potable ni électricité. Pourquoi aider un étranger avec des milliards de nos francs pour faire campagne en France quand les anciens travailleurs de l’hôtel de la paix meurent les uns après les autres car totalement démunis ? Mr Faure Gnassingbé refuse de présenter l’état de la nation devant l’Assemblée nationale comme l’exige la constitution en vigueur. Il manifeste un dédain pour cette constitution qui l’oblige à mettre en place le Conseil Economique et Social et le Sénat. Mais il crée sans nécessité et à foison par des décrets pris en conseils des ministres des commissions pour baguenauder. Quelle tragédie burlesque !
Chers compatriotes, les inductions trompeuses de Mr Faure Gnassingbé sont de plus en plus intolérables. Nul n’a le droit de s’amuser ainsi avec notre destinée. C’est pour continuer ce sybaritisme qu’il souhaite compter sur nos frères des forces de défense et de sécurité nationales ? Il se trompe. Nos frères seront avec nous le jour où tous ensemble, c’est-à-dire le jour du peuple et de Dieu, nous célèbrerons la victoire, à la suite et sous l’unique direction des hommes et des femmes du peuple, lorsque ceux-ci nous marqueront ce jour heureux par leur mobilisation et la bénédiction divine.
La longue marche populicide et liberticide de ce régime infâme doit prendre fin sans tarder. Chacune de ses pensées et chacun de ses actes sont des délits nationaux. Les preuves de tous ses forfaits sont tracées en caractères de souffrances pour nos parents. Après l’extrême prolétarisation de la masse du peuple, ils engagent brutalement et cyniquement la crétinisation générale des esprits en organisant l’achat de conscience de journalistes et la peur. Ils préparent leur esclavage d’opérette par la fermeture de la Télévision LCF et de la radio CITY FM. Nous devons nous libérer de ce joug d’une minorité criminelle et vile, qui planifie de nous livrer en l’holocauste de la misère et du despotisme.

Le combat que nous allons mener sera celui de la justice contre les injustices et celui de la vertu contre le crime et le vice. Dans cette lutte du peuple contre ses tyrans, c’est le peuple qui triomphera inéluctablement. Que Dieu Tout-Puissant inspire ceux qui porteront le flambeau et qu’il nous aide à nous entendre et à combiner nos moyens et nos intelligences pour sauver le peuple togolais et l’arracher à la misérable et abjecte tyrannie en cours dans notre pays. Notre lutte est sainte dans ses motifs et dans son but. Il s’agit désormais de nous montrer digne de la confiance dont le dépôt sacré nous sera à nouveau confié par le peuple. Avec la bénédiction de Dieu, nous arracherons définitivement notre nation à l’insoutenable esclavage qu’elle endure avec la gouvernance du régime en place.

Nicolas LAWSON
Président du PRR


Kossi Djigbodi Apelevo    Contacter l'auteur de la pétition

Signer cette pétition

En signant, j'autorise Kossi Djigbodi Apelevo à transmettre les informations que je fournis sur ce formulaire aux personnes ayant un pouvoir de décision sur cette question.

Nous ne publierons pas votre adresse e-mail en ligne.

Nous ne publierons pas votre adresse e-mail en ligne.







Publicité payante

Nous ferons la promotion de cette pétition auprès de 3000 personnes.

Apprendre encore plus...