Il faut REFUSER/MODIFIER l’immigration musulmane et interdire l'islam au CANADA

 

Cher Premier Ministre Trudeau,

Nous citoyens Canadiens, demandons au Gouvernement un référendum d'initiative populaire concernant nos politiques en matière d'immigration.

Je vous rappel que la première priorité du gouvernement du Canada consiste à protéger le Canada et à assurer la sécurité des Canadiens au pays et à l’étranger. En d’autres mots, il s’agit de protéger la sécurité physique de la population canadienne, les valeurs canadiennes et les institutions canadiennes.

L’immigration massive que nous connaissons est un danger majeur pour notre pays :

– Elle est d’abord un danger pour notre identité nationale.

Des millions de personnes sont arrivées en quelques décennies chez nous sans partager notre culture, nos valeurs, nos coutumes. Et souvent même sans avoir la plus petite envie de les adopter et de s’intégrer.

– Elle est aussi un danger financier, notamment pour notre système de protection sociale.

– Elle est aujourd'hui plus que jamais un danger pour la sécurité,

 Nous vous demandons  un référendum sur l’immigration avec quatre questions:

 1) Faut-il réserver l’obtention de la nationalité aux enfants des canadiens et dans des cas exceptionnels aux étrangers méritants qui ont prouvé leur attachement au Canada ?

2) Faut-il réserver l’aide sociale exclusivement aux citoyens canadien ?

3) Faut-il fermer nos frontières aux étrangers en provenance de pays arabe?

4) Faut-il interdire La pratique de L'islam

La situation devient chaque jour plus préoccupante. Les quatre réformes indiquées par ces questions permettraient de stopper réellement l’immigration et donc de s’attacher sérieusement à l’intégration des immigrés déjà présents sur notre sol. Et elles ne coûteraient rien ; au contraire, elles permettraient de substantielles économies.

Je compte sur la détermination de vôtre gouvernement à défendre le Canada et les Canadiens pour préparer au plus vite cet indispensable référendum.

 

(INCLUANT L'ABANDON DE L'ADMISSION DES 25 000 RÉFUGIÉS SYRIENS)