Petition de soutien pour notre combat contre l'ASE

M. et Mme Comorge Lionel et Séverine

STOP AUX PLACEMENTS ABUSIFS

VOICI NOTRE HISTOIRE

Nous essayons de SAUVER NOTRE FILLE OCEANE âgée de 13 ans.

Elle est placée depuis 2001 auprès de l'ASE (Aide Sociale à l'Enfance) la pensant en sécurité on faisait confiance à ce service gardien sensé protéger les enfants, mais maintenant c'est fini, notre fille n'est pas en sécurité.

Elle a fait 15 familles d'accueils, 5 écoles, 1 foyer de l'enfance, 2 lieux de vie, 2 IME, 7 éducatrices de l'ASE et plusieur traitement médicaux extrêmement lourd (neuleptil, concerta, terciant, abilifly, miansérine etc.)

Depuis qu'elle est née, elle a subi 4 attouchements,

1 à l'âge de 2 ans de la part de soit disant le gendre de la 1ere famille d'accueil, nous n'en savons pas plus car, on nous a refusé de regarder le dossier d'assistance éducative, alors qu'on est les parents.

3 à l'âge et 13 ans de la part de 2 de ses camarades enquêtes encore en cours.

En 2001 on est parti à Paris pour trouver du travail et s'éloigner de notre famille. Elle est placée auprès des services de l'ASE, à notre demande car, on allait tomber à la rue et pour protéger notre fille on a demandé à la placer dans un endroit sécurisant. A l'âgs de 2 ans on a dit aux services de l'ASE de Chelles (77) qu'il y avait un problème avec notre fille, on nous a répondu qu'elle découvrait sa sexualité, quelques temps plus tard on nous annonçait qu'il s'était passé quelque chose de grave avec notre fille et qu'elle avait subi des attouchements, d'abord ils ont cherché si c'était pas nous ou autour de nous. Après ils se sont intéressés à la famille d'accueil et à son entourage, l'affaire a été classée sans suite car, manque de preuve et que ma fille avait peur des services de police, car ce lui qui a soit disant été accusé était le mari de la fille de la famille d'accueil qui était agent de police à Meaux dans le (77), après cela elle a fait 9 familles d'accueils.

En 2004 on nous l'a rendu détruite il a fallu lui réapprendre à avoir confiance en elle, en nous et en la police.

Nous sommes revenus en 2005 dans les Landes chez le père de mon mari, elle avait enfin retrouver la joie de vivre et avez reçu un vélo pour son anniversaire. Elle ne savait pas en faire donc elle est tombée plusieurs fois de vélo se faisant des bleus.

En 2005 une maitresse d'école de Hins/Adour fait un signalement de maltraitance. Nous l'avons amené à l'école le matin et nous sommes allés la chercher le soir, mais notre fille n'était plus là, le directeur nous a dit qu'une éducatrice de l'ASE des Landes l'avait emmené dans un foyer de l'enfance à Tarnos. Là après on a été accusé d'être alcoolique de personne in-fréquentable car, on essayait de dire ce qu'il se passé et cela ne leurs plaisait pas. Après le foyer elle a fait une autre famille d'accueil ou là elle a fait une grosse crise. Et là la famille d'accueil a dit qu'elle ne voulait plus d'elle, donc 5 autre familles d'accueils et 2 lieux de vie.

En 2010 on nous l'a rendu car, plus de solutions de place, mais avec un suivi AEMO car, ils disent que l'on ne sait pas gérer les crises de notre fille. Là elle est scolarisé dans un IME ou elle a subi 3 attouchements de la part de 2 de ses camarades l'enquête est toujours en cours.

Nous l'avions retiré de l'école pour bien-être physique et moral, elle a été hospitalisée car, elle a fait une grosse crise suite à ce qui s'est passés.

Nous avons eu un rendez-vous avec l'inspectrice de l'ASE qui nous a exigée de la re-scolariser dans cet établissement avec le motif suivant" c'est elle qui a cherché les garçons ".

Nous lui  avons dit qu'elle ne repartirait pas dans cette institution car, notre fille ne se sentait pas en sécurité et qu'elle avait peur d'avoir de nouveaux problèmes et comme on a refusé, elle en a informé le Juge des Enfants de DAX.

Suite à ce rendez-vous nous sommes allés voir notre avocate, qui est allée voir la Juge, qui lui a confirmé de remettre notre fille dans cette école.

Où sont nos droits de parents ?

Où sont les droit de notre fille ?

Où es-ce que notre fille est protégée ?

STOP A LA MALTRAITANCE INSTITUTIONNELLE.

SAVEZ-VOUS QU' EN FRANCE 1 ENFANT SUR 2 EST VICTIME DE PLACEMENTS ABUSIFS.