Le Notaire abuse sur une personne malvoyante lors de l'achat de sa maison

Malvoyante abusée à l'achat de sa maison

 

Je relate mon histoire, suite au dernier jugement de la Cour d'Appel de Nîmes du 28/09/2017.

Le 29/04/1997, je fais l'acquisition seule, d'un bien immobilier à Morières-les-Avignon, avec un apport personnel de 33 000 € dans le Vaucluse.Je solde entièrement mon crédit au Crédit Immobilier de France, avec les pièces justificatives à l'appui : 2 chèques du 21/03/2001 qui clôture mon crédit, et une attestation du Crédit Immobilier de France.

En 2002, sur demande d'un de mes fils, Philippe BRUNA, un huissier me présente une assignation pour revendiquer des droits sur ma maison.

En 2003, je ressens comme une violation de notre domicile : mon avocat, l'avocat de mon fils, et une personne désignée par le Tribunal de Grande Instance d'Avignon, viennent chez nous pour évaluer mon bien.
Cela pour permettre à un expert (MARTY-FABRE), de fixer un montant mensuel d'occupation au bénéfice de mon fils Philippe BRUNA !

Le 23/03/2004, un jugement du TGI d'Avignon ordonne le partage du bien indivis. Je suis stupéfaite, dans l'incompréhension devant une telle abération.

En 2007, convoquée à l'étude de Maître GAUTIER Pierre, je n'ai absolument rien compris de tout ce qui se disait, puisqu'il était question d'usufruit, alors que j'ai acheté seule ma maison, qui est entierement soldé.
Par la suite, j'ai découvert que tout le dossier a été monté comme si nous étions un ménage, nous faisant signé des documents comme si nous habitions dans le même appartement et ayant la même banque.
C'est complètement faux, nous n'étions même pas dans le même batiment :
Moi j'habitais : HLM du Vieux Moulin N° 76, entrée 12
Mon fils Philippe : HLM du Vieux Moulin N° 15, entrée 2 à Monteux (84170).
Suite à tout ce que j'ai relaté ci-dessus, j'ai quand même été condamnée plusieurs fois.
Le pire, c'est qu'en appel, j'ai été recondamnée par un arrêt du 28/09/2017 (Cour d'appel de Nîmes).

Mon calvaire dure depuis 2002.

tout cela n'est pas provoqué par un tiers, mais par mon propre fils, Philippe BRUNA !Parlons un peu de ce personnage : un adolescent difficile, avec de mauvaises fréquentations; des périodes d'alcoolismse répétées (reconnues par lui même dans des courriers) : des plongeons dans la drogue, et, en plus, le vandalisme d'une école maternelle avec des copains...

Heureusement, pendant cette période critique, Mme BERTHE, juge des enfants d'Avignon, m'a été d'un grand secours.
Elle a fait placer mon fils Philippe BRUNA, dans un établissement spécialisé de la Grange d'Orel de Montfavet (Vaucluse). Puis, lui a permis d'avoir un studio, près de la place de l'Horloge, à Avignon.Malgré ces soutiens, mais toujours avec ses mauvaises fréquentations, mon fils Philippe BRUNA a été cambriolé. Je ne sais pas ce qui s'est passé, mais il a été mis en prison où je suis allé le voir. je n'ai jamais su le motif de son incarcération.
Pour son Service National, je lui avais suggéré de demander l'Outre-mer. Ce qu'il a fait : incoporé dans les parachutistes à Mont-de Marsan(40), il est parti ensuite à Nouméa, en Nouvelle Calédonie.
Après son temps légal, il souhaitait s'engager, mais sa demande a été rejetée.

Ce que je comprends, à l'heure d'aujourd'hui, vu le comportement déplorable dans sa vie quotidienne :

De retour dans la vie civile, il est devenu chauffeur-routier. Après plusieurs suspensions de permis (pour alcoolémie), il a été contraint d'être suivi par l'Association des Alcooliques Anonymes. Malgré tout ses travers, j'aimais énormément mon garçon. Nous étions trés trés proche, jusqu'en 1999, où il a rencontré sa compagne Marinette X, son ainée de trente ans (il en parle beaucoup dans ses lettres).En 2002, sur sa demande, Philippe BRUNA est hospitalisé à la Clinique de Bellevue, à Villeneuve-les-Avignon (30). Avec plusieurs entrées et sorties... Cela a duré, je crois, jusqu'à la fin 2009, afin d'obtenir par la suite une invalidité. Son stratagème a fonctionné.

De 1999 à juillet 2009, nous n'avons plus eu de contacts.

C'est alors qu'il est réapparu, en me demandant pardon pour tout le mal qu'il m'avait fait. Avec tout l'amour d'une mère, j'ai donc pardonné. Je le croyais sincère, vu les deux lettres qu'il a envoyé à son avocat. Ces lettres ont été envoyé au Procureur de la République, au notaire, et à mon avocat du moment.

En 2011/2012, il fait la connaissance d'une nouvelle compagne, Mme X, Ancienne Greffière et très procédurière.
A partir de ce moment, tous mes ennuis recommencent. Alors que je reste chez moi et ne les dérange pas, pourquoi cette dame encourage mon fils à me refaire du mal? Pourquoi tant de méchancetés en sachant que je suis agée, seule, handicapée.

Et la procédure recommence : assignation en 2013, jusqu'au jugement en appel de ce mois de septembre 2017...

Pourquoi s'acharner ainsi sur une personne faible physiquement ? (j'ai été trépané dans ma petite enfance à Nancy, fin 1962 et une voiture m'a renversé; j'ai l'os frontale fracturé avec hospitalisation de plus d'un mois et je suis devenue malvoyante).

Tout ce qui a été mentionné dans ce récit peut être vérifié, grâce à tous les documents qui sont en ma possession.

A la date d'aujourd'hui, d'un moment à l'autre, je m'attends à ce que l'on m'expulse de ma maison et être à la rue. Que vais-je devenir toute seule et malvoyante? Des amis(es) sont là pour m'aider et mettre tout en oeuvre pour que cela n'arrive pas...

A la grâce de Dieu!


Fait à MORIERES-LES-AVIGNON, le lundi 9 octobre 2017.
Mme Michèle PONARD


Michèle PONARD dans le Vaucluse    Contacter l'auteur de la pétition