SHUT DOWN QUEBEC PUPPY MILLS-FERMEZ LES USINES À CHIOTS DU QUÉBEC

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#1

2011-05-10 20:24

Il faut des lois sévères et de l'encadrement afin que cesse le commerce des animaux. Ce sont des êtres vivants, non de la marchandise quelconque!!!

Réponses


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#9 Re:

2011-05-17 23:00:52

#1: -  N'y t'il pas beaucoup d'autre problème plus urgent que le cas des chiots ??? Sérieusement on pourait bien donné c'est pauvres petits chiot a manger au gens qui creuvent de faim, ici même en amérique. Les chiens, les animaux, nous même les être humains nous sommes considéré comme des bête de somme. Ne voyez vous donc rien. Ou c'est que vous ne vouler rien voir donc vous laisser aller votre sensibilité ailleur pour des sujets sans importance. Je suis totalement contre plus de lois pour ce genre de foutaise, réveiller vous et arêter de chialler pour des banalités, des gens soufrent, des gens meurent partour, personne est heureux. Et personne fait rien. Réfléchisser un peut a sa.

 


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#45 Re:

2011-06-15 10:10:47

#1: -  

 ENCORE CHANCEUX CAR DANS CERTAINS PAYS ON LES MANGENT...IL Y A BEAUCOUP DE CHOSES A TRAITER AU QUÉBEC...ALORS FOUTEZ-NOUS LA PAIX AVEC LES CHIENS QUI JAPPENT JOUR ET NUIT ET DÉFECTENT SUR NOS TERRAINS...POUVEZ-VOUS ME DIRE À QUOI ILS SERVENT AU JUSTE?

ex-membre de la Société Québécoise de défence des Animaux

#85 Re:

2011-07-28 18:19:54

#1: -

Selon la loi actuelle au  Québec, un animal est considéré comme un bien-meuble car il peut être déplacé, c'est aussi arrièré que ça...


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#103 Re:

2012-01-17 18:47:55

#1: -  

 

#250: -  

 http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/01/17/m-sarkozy-les-chasseurs-ne-sont-pas-les-ennemis-de-l-environnement_1630859_823448.html

Sarkozy au monde rural : "Les chasseurs ne sont pas les ennemis de l'environnement"

LEMONDE.FR avec AFP | 17.01.12 | 16h42   •  Mis à jour le 17.01.12 | 16h54

 
 
 

 

http://s2.lemde.fr/image/2012/01/17/540x270/1630862_3_0e5b_nicolas-sarkozy-prese...

Nicolas Sarkozy présentait ses voeux à la "France rurale" le 17 janvier 2012, à Pamiers (Ariège).REUTERS/POOL

 

 

Nicolas Sarkozy s'en est pris, mardi 17 janvier à Pamiers (Ariège), aux règles environnementales trop "tatillonnes" qu'il a promis de lever, et à certaines limitations imposées par la justice à la chasse, lors de ses vœux au monde rural en Ariège.
 

"J'ai conscience que l'aspect tatillon de certains règlements administratifs vous insupporte. Je prends l'exemple des règles environnementales, la question de l'eau, la protection de l'eau", a lancé M. Sarkozy dans son discours.

 "LEVER LE PIED"

"Naturellement, il faut protéger l'environnement (...), mais là encore, tout est une question de mesure. Nous allons prendre un certain nombre de décisions pour relâcher la pression", a-t-il promis. "La préservation de l'environnement, ça n'est pas empêcher quiconque de faire quoi que ce soit."
 

"N'importe quelle association qui veut empêcher un maire, un élu, une initiative peut le faire (...), il faut absolument lever le pied de ce point de vue", a insisté le chef de l'Etat.

M. Sarkozy avait tenu des propos similaires, à la clôture du Salon de l'agriculture 2010, en déclarant que les questions d'environnement, "ça commence à bien faire", provoquant la colère des écologistes.

"UN PETIT BONHEUR"

"Ce que je dis sur l'environnement, je le dis également pour la chasse. Les chasseurs ne sont pas les ennemis, ce ne sont pas les adversaires de l'environnement", a aussi estimé, mardi, M. Sarkozy.
 

"Il y a des décisions récentes qui ont été prises par le Conseil d'Etat qui sont vécues par une partie de nos compatriotes comme vraiment un souci non pas de résoudre un problème, mais de les empêcher de profiter de ce qu'on pourrait appeler un petit bonheur", a déploré le président. "J'ai entendu ce message, je recevrai d'ailleurs les associations de chasseurs sur ce sujet-là."

Dans une décision rendue le 23 décembre 2011, le Conseil d'Etat a enjoint le ministère de l'écologie de fixer "dans un délai d'un mois" une nouvelle date de clôture qui ne soit "pas postérieure au 31 janvier" pour la chasse à certaines oies, actuellement fixée au 10 février. Ce jugement a été salué par les associations de défense de l'environnement et des oiseaux, mais a provoqué la colère des chasseurs.


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#104 Re:

2012-01-19 15:19:39

#1: -  

 

#250: -  

 http://www.lemonde.fr/politique/article/2012/01/17/m-sarkozy-les-chasseurs-ne-sont-pas-les-ennemis-de-l-environnement_1630859_823448.html

Sarkozy au monde rural : "Les chasseurs ne sont pas les ennemis de l'environnement"

LEMONDE.FR avec AFP | 17.01.12 | 16h42   •  Mis à jour le 17.01.12 | 16h54

 
 
 

 

http://s2.lemde.fr/image/2012/01/17/540x270/1630862_3_0e5b_nicolas-sarkozy-prese...

Nicolas Sarkozy présentait ses voeux à la "France rurale" le 17 janvier 2012, à Pamiers (Ariège).REUTERS/POOL

 

 

Nicolas Sarkozy s'en est pris, mardi 17 janvier à Pamiers (Ariège), aux règles environnementales trop "tatillonnes" qu'il a promis de lever, et à certaines limitations imposées par la justice à la chasse, lors de ses vœux au monde rural en Ariège.
 

"J'ai conscience que l'aspect tatillon de certains règlements administratifs vous insupporte. Je prends l'exemple des règles environnementales, la question de l'eau, la protection de l'eau", a lancé M. Sarkozy dans son discours.

 "LEVER LE PIED"

"Naturellement, il faut protéger l'environnement (...), mais là encore, tout est une question de mesure. Nous allons prendre un certain nombre de décisions pour relâcher la pression", a-t-il promis. "La préservation de l'environnement, ça n'est pas empêcher quiconque de faire quoi que ce soit."
 

"N'importe quelle association qui veut empêcher un maire, un élu, une initiative peut le faire (...), il faut absolument lever le pied de ce point de vue", a insisté le chef de l'Etat.

M. Sarkozy avait tenu des propos similaires, à la clôture du Salon de l'agriculture 2010, en déclarant que les questions d'environnement, "ça commence à bien faire", provoquant la colère des écologistes.

"UN PETIT BONHEUR"

"Ce que je dis sur l'environnement, je le dis également pour la chasse. Les chasseurs ne sont pas les ennemis, ce ne sont pas les adversaires de l'environnement", a aussi estimé, mardi, M. Sarkozy.
 

"Il y a des décisions récentes qui ont été prises par le Conseil d'Etat qui sont vécues par une partie de nos compatriotes comme vraiment un souci non pas de résoudre un problème, mais de les empêcher de profiter de ce qu'on pourrait appeler un petit bonheur", a déploré le président. "J'ai entendu ce message, je recevrai d'ailleurs les associations de chasseurs sur ce sujet-là."

Dans une décision rendue le 23 décembre 2011, le Conseil d'Etat a enjoint le ministère de l'écologie de fixer "dans un délai d'un mois" une nouvelle date de clôture qui ne soit "pas postérieure au 31 janvier" pour la chasse à certaines oies, actuellement fixée au 10 février. Ce jugement a été salué par les associations de défense de l'environnement et des oiseaux, mais a provoqué la colère des chasseurs.


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#108 Re:

2012-03-07 17:40:29

#1: -  

 

Dans un courrier au président-candidat, l'ex-actrice et chanteuse lui reproche de ne pas avoir tenu ses engagements sur le halal et d'être responsable de «l'égorgement à vif» des animaux.

Brigitte Bardot a accusé lundi Nicolas Sarkozy, dans une lettre ouverte, de n'avoir pas tenu ses engagements et d'être responsable de la généralisation de «l'égorgement à vif» des animaux de boucherie.

Ce courrier fait suite à la proposition du chef de l'Etat, faite samedi à Bordeaux, d'étiqueter la viande en fonction de la méthode d'abattage, chacun ayant «le droit de savoir ce qu'il mange, halal ou non».

«C'est par vous et par votre faute que l'égorgement à vif s'est généralisé en France, par votre faute que les consommateurs français sont trompés», écrit l'ancienne actrice au président de la République, dans une lettre rendue publique par sa Fondation.

«Le 22 décembre 2006, vous m'écriviez: "Je veux, maintenant, que les abattoirs halal s'engagent, concrètement et rapidement, dans la voie d'une généralisation de l'étourdissement préalable"... Encore une promesse non tenue, encore un mensonge insupportable», s'indigne-t-elle. «Comment les Français pourraient-ils encore vous croire et vous faire confiance?».

«Vos derniers propos sur l'étiquetage des viandes provenant d'animaux égorgés à vif, dans des conditions ignobles, me donnent la nausée car ils témoignent de toute votre malhonnêteté!», poursuit-elle.

Selon BB, l'abattage rituel des animaux entraîne l'agonie des bovins pendant 14 minutes, après avoir eu la gorge tranchée, «une barbarie immonde qui représente aujourd'hui 51% des abattages en France».

(AFP)