Fiona

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Cette pétition, je l'adresse tout d'abord à tous, bien entendu, vous qui avez suivi l'issue tragique de la petite Fiona, 5 ans, de Clermont Ferrand, et je vous demande donc de la diffuser au maximum de gens possible.

Mais, cette pétition, je l'adresse avant tout à notre président de la république, Monsieur François Hollande, ainsi qu'à notre ministre de la justice, Madame Christiane Taubira.

 

Monsieur le Président, et Madame le Ministre,

Vous avez sans doute suivi cette abominable affaire, qui a choqué profondément tous les français.

Par la présente pétition, et en mémoire de la petite Fiona, je vous demande instamment :

1) Que les recherches pour retrouver le corps de cette pauvre enfant ne soient en aucun cas abandonnées, afin qu'une autopsie puisse être pratiquée.

Il est parfaitement clair, pour moi et pour tous les français, que Madame Cécile Bourgeon ment quand elle dit ne pas se souvenir de l'endroit où elle a enterré sa petite fille. Ce mensonge (un de plus) est uniquement destiné à couvrir son compagnon Berkane Maklouf, car celui-ci sait très bien qu'une autopsie apportera la preuve formelle de sa culpabilité. Ils n'ont donc aucun intérêt, tous les deux, à ce que l'on retrouve le corps de la petite. Et le fait que les recherches n'aient toujours rien donné, malgré les importants dispositifs mis en oeuvre, n'étonnent plus personne.

Madame Cécile Bourgeon et Monsieur Bernard Maklouf ont sans doute enterré la petite ailleurs, ou bien se sont débarassé du corps autrement. Jeté dans le lac par exemple (ce n'est qu'une hypothèse). Il  est donc important que les recherches se poursuivent.

2) Que, quelles que soient les arguments à décharge que pourront présenter leurs avocats (c'est leur rôle bien sûr) Madame Cécile Bourgeon et Monsieur Berkane Maklouf, même si on ne devait jamais retrouver le corps de la petite, soient condamnés à la prison à perpétuité, une vraie perpétuité sans aucune compressibilité possible. C'est ce qu'attend la grande majorité des français.

3) Enfin, que soient prises rapidement, au niveau des services sociaux et au niveau de la justice, toutes les dispositions leur permettant de retirer immédiatement les enfants aux parents qui se droguent.

Les parents de la petite Fiona se droguaient, et vous n'êtes pas sans savoir qu'un homme drogué a également battu à mort son bébé de 2 mois ces jours derniers.

 

Monsieur le Président, Madame le Ministre, vous devez mettre en oeuvre, et cela très rapidemment, tous les moyens nécessaires pour protéger nos enfants, afin que de tels drames ne se reproduisent pas.

 

Au nom de tous les français, et au nom de la petite Fiona, je vous remercie de votre attention, et je vous adresse mes salutations les plus respectueuses.