Accueil de migrants à Aurillac

                                                                                     

      OBJET : Accueil de migrants à AURILLAC et ses Conséquences.      

      Mesdames, Messieurs,      

       Depuis l’accueil massif de migrants « protégés, nourris, payés, logés et mal encadrés », les incivilités et l’évolution de la délinquance ne font qu’évoluer de manière inquiétante dans la ville d’Aurillac. Nous sommes exaspérés de voir avec quelle insouciance les pouvoirs publics laissent s’installer de tel phénomènes sociétaux dans cette noble cité Geraldienne.

        Une jeune femme s’est faite violemment agresser dans la nuit de samedi à dimanche 26 mars 2017 par un individu de nationalité soudanaise et récidiviste :Violences à caractère sexuel avec strangulation, attouchements, torsion des doigts pour la faire chuter au sol , il en résulte des ecchymoses multiples au cou, aux mains et au visage, le tout accompagné d’insultes et de menaces du genre: «Vous allez voir c’qu’on va vous faire sales françaises !» et qui, devant les policiers bizarrement, ne sait plus parler le français nécessitant l’intervention d’un interprète assermenté introuvable.     

        Donc, faute de pouvoir lui énumérer ses «droits » dans la langue  soudanaise, il a été relâché et circule librement en ville…                Je salue avec respect le professionnalisme des forces de Police d’Aurillac qui ont rapidement neutralisé cet individu avant qu’il n’arrive à ses fins et ont escorté cette jeune femme en état de choc jusqu’aux services des urgences de l’hôpital et ensuite l’on raccompagné en sécurité chez elle. C’est à se demander si après une certaine heure, il faut éviter de circuler dans Aurillac le soir sans protection rapprochée…     

        Le traumatisme moral est évidemment bien présent chez elle et un suivi psychologique post-traumatique devra être mis en place. Elle est donc en arrêt de maladie pour 7 jours. C’est en quelque sorte un épisode de sa vie qui aura été volé. Une pensée également à cette autre jeune femme agressée quelques temps avant par ce même individu. La sécurité d’une ville devant reposer sur sa Police, il serait utile d’en augmenter leurs effectifs et d’améliorer leurs statuts afin qu’ils puissent travailler plus efficacement et sereinement pour la sécurité des citoyens et de la leur.   

         Ces migrants n’ont que faire de la langue française, des trois couleurs et de nos us et coutumes qu’essaient de leur inculquer de piètres associations locales, elles aussi responsables. Leurs emplois du temps se résume un peu comme celui du hibou:

Espèce protégée qui dort la journée et « vole » la nuit…       

                                                             Y-a-t-il un Maire à Aurillac ? Ou un Préfet peut-être ?    

         Laisser déambuler librement en ville un dangereux délinquant ayant commis de tels délits et qui plus est, récidiviste, est tout simplement inadmissible. Même s’ils sont insolvables, car, mes chers concitoyens, la Loi est bien faite : Ces olibrius bénéficient du vide juridique ! Véritable vide sanitaire National… Mais combler les vides juridiques de notre Loi doit déranger du monde, mais n’épargne pas les souffrances des victimes et de leurs familles. Malgré l’insolvabilité de ce délinquant qui cache peut-être d’autres individus dangereux dans d’autres domaines, j’espère que justice sera faite et que les initiateurs de ce projet d’accueil de migrants, quel qu’en soit leur niveau de compétence, deviennent à présent, non plus des donneurs de leçons, mais des acteurs responsables devant les dégâts causés.

         D’autres cas similaires, voire plus graves, sont à signaler à Aurillac, évidemment rien est ébruité, la presse locale est muette et pour cause, réputation Municipale oblige… Faites le savoir mesdames, messieurs si nous voulons que cela change, il y a longtemps que ce phénomène perdure et s’amplifie et il serait malsain de laisser s’installer un tel malaise en ville car notre Police commence à s’essouffler et les citoyens en ont marre. Je souhaite que les préjudices matériels, physiques et moraux soient pris en compte par ces promoteurs de projets ratés afin de soulager les victimes blessées. Mais le doute persiste sur le suivi et l’issue de ce dossier sensible et des autres également, restons vigilant.  

          Vous l’avez bien compris, ces migrants sont les malvenus dans notre ville qui n’a pas grand-chose à leur offrir que notre drapeau national en paillasson, ainsi que votre argent et encore moins un avenir salutaire pour eux-mêmes et le peuple Cantalien.

               Il en est de même dans d’autres communes d’Auvergne et de France où les habitants se posent en spectateurs impuissants.  Apparemment nos trois valeurs républicaines : Liberté-Egalité-Fraternité ne doivent pas avoir la même signification et interprétation pour tout le monde. Beaucoup trop de nos compatriotes sont morts pour elles, ne les faisons pas souffrir d’avantage.

           N’oublions pas également nos jeunes cantaliens qui triment dur la semaine pour un miséreux smic et qui s’offrent de temps à autres des sorties entre amis le samedi soir afin de vivre leur jeunesse, jeunesse quelquefois souillée ou parfois stoppée net par des délinquants protégés et gâtés par la République Française…   

           Voilà Mesdames, Messieurs, cela se passe dans notre ville où nous croyons tous que nos enfants vivent en sécurité sous les trois couleurs, souvent portées en décoration sur des torses costumés et des médailles trop étincelantes, trois belles couleurs avec un chant pour l’illustrer et une larme pour se souvenir…

Réagissons ! Pour nos villages, nos villes, notre Pays… et bien sûr, nos enfants.                       

                         

                                                                                            Patrick GRIMALDI