NON A LA METROPOLE DE MONTPELLIER

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A titre informatif

2014-09-09 22:05:33
Réunion/débat au sujet de la Métropole de Montpellier

 

Invitation

 

 

 

 

 

A l’attention des élus de l’agglomération de Montpellier ainsi qu’aux militants syndicalistes et aux citoyens.

 

 

 

Chers amis, chers maires, conseillers municipaux, chers citoyens,

 

 

 

Comme vous le savez, depuis des années, les maires et les élus montent régulièrement au créneau contre l’intercommunalité et la menace de disparition des communes. J’ai moi-même dans ma commune de Mailhac mené tous les combats pour défendre l’existence des services publics et pour une gestion fidèle aux intérêts des citoyens. Ma commune a été au final intégrée de force dans le grand Narbonne, malgré la protestation de 77 élus siégeant dans cette entité.

 

Les élus de l’agglomération de Montpellier sont appelés à se prononcer sur le passage en Métropole, en leur faisant miroiter monts et merveilles comme à chaque fois, et en les menaçant de toutes les catastrophes s’ils ne s’exécutent pas. Mais il y a les discours, les promesses, les mirages de l’essor économique mainte fois évoqué jamais rencontré… et il y a la réalité.

 

Car ce projet lui-même s’insère dans un contexte plus large : des 36 681 communes, et des 95 départements français, avec leurs compétences, services et personnels, il ne doit plus rien rester, pour faire place à 50 métropoles et 10 euros régions. Tout cela, dans une France qui compte 5 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres.

 

A cela se rajoute les 11 milliards en moins pour les dotations communes, en compensation du pacte de responsabilité pour satisfaire le Medef et la CFDT : où allons-nous ?

 

Suppression de postes d’agents territoriaux, pertes de droits acquis, augmentation des impôts, privatisations : voilà ce que nous connaissons depuis des années, voilà ce qui va s’accélérer avec cette nouvelle réforme territoriale, engagée par Sarkozy, et poursuivi par le gouvernement Hollande Valls. Pourtant, il y a eu les élections municipales, pourtant, les signes de rejet se multiplient sur tous les terrains : rien n’y fait, ils veulent poursuivre dans cette voie catastrophique pour notre pays.

 

 

 

Que faire ? Comment bloquer ce projet dangereux ?

 

 

 

Le combat que mène certains élus et militants dans le département de l’Hérault contre la Métropole ne concerne pas uniquement Montpellier. C’est un combat pour la défense de la République.

 

Certains élus hésitent à voter contre. D’autres sont séduits par les promesses d’un Saurel, actuel maire de Montpellier, tout en espérant préserver ce qui fonde la démocratie communale.

 

Comment aider à défendre la République, celle de Jaurès, celle de la résistance, celle pour laquelle certains ont sacrifié leur vie ? Comment aider à ce que le nombre de vote contre contraigne Saurel à renoncer à ce projet anti-républicain, lui qui se dit soucieux du respect des communes, pour mettre une telle victoire au compte de tous les élus de l’Hérault, mais au-delà, de la République ?

 

Les élus sont concernés, de même que les militants syndicalistes, en particulier ceux de la CGT et de FO, dont les unions départementales ont adopté des positions contre la métropole.

 

 

 

Discutons-en et étudions ensemble les chemins de la résistance.

 

 

 

Je vous propose que nous nous réunissions :

 

 

 

Jeudi 25 septembre à 20h00

 

Salle à préciser (demande a été faite à la mairie de Grabels)

 

 

 

Gérard Schivardi, Maire de Mailhac, secrétaire national du POI. 

Democratie

Lettre aux 637 signataires

2014-04-25 11:06:22

Cher(e)s signataires,
Du point de vue de l’existence des communes et des départements, les événements se précipitent. Les annonces de Manuel Valls provoquent une réaction en chaîne. D’une part, dans les régions, les exécutifs anticipent et vont à grand pas vers la fusion comme la Bourgogne et la Franche Comté et le 19 mai, à Nantes, un rassemblement hétéroclite d’élus du PS , Verts, UMP, de nationalistes bretons avec la patronat « des bonnets rouges », revendiquent la mise en application accélérée du pacte de responsabilité et la création d’une « Assemblée de Bretagne » réunifiée avec les 5 départements « historiques » dont la Loire Atlantique, « interdite depuis longtemps par le Jacobins » ! Ils arguent de l’audience économique accrue d’une telle région sur le marché mondial !
La République va mal, très mal !
Et qu’en est-il de la Métropole de Montpellier ? Philippe Saurel, nouveau maire de Montpellier et président de l’Agglomération, fait allégeance à la politique de Manuel Valls et se prépare à mettre en place la Métropole. André Vézinhet, indigné, à juste titre, par la disparition programmée des départements en 2021, fait signer une pétition pour dans 6 ans : les députés de l’Hérault qui ont voté la loi Lebranchu sur les métropoles signent la pétition. Mais André Vézinhet , qui a soutenu Jean Pierre Moure, reste étonnamment silencieux sur l’échéance prochaine de la Métropole. Quant à Philippe Saurel, il appelle donc à appliquer la politique du candidat battu !
Il reste cependant que les conseils municipaux ne se sont pas encore prononcés.
Voilà pourquoi nous vous appelons, vous signataires, élus et citoyens républicains, syndicalistes à poursuivre et amplifier la campagne de signatures de l’appel « NON A LA MÉTROPOLE DE MONTPELLIER », à continuer les rencontres avec les nouveaux conseils municipaux, pour leur signifier que le mandat populaire ne peut pas être différé. Il en va des communes et du département. Il en va de la démocratie politique de base qui permet la souveraineté du peuple sur les affaires qui le concerne dans les territoires. Nous sommes attachés à l’intercommunalité librement consentie et à la forme républicaine de la démocratie communale, c’est-à-dire les conseils municipaux responsables devant leurs mandants, et les conseils généraux, chargés avec leurs délégués cantonaux d’administrer les droits de la population dans leurs départements. La République a prévu des représentants élus à chaque niveau. La loi Métropole, c’est le contraire : il s’agit d’une bureaucratie non élue qui gérera en fonction des besoins de la politique d’austérité ! La résistance s’impose.
Voilà pourquoi il faut poursuivre le combat : défense de la libre administration des communes, de l’intercommunalité librement consentie, NON à la métropole, défense de la République, une et indivisible.
Merci de faire circuler auprès de vos collègues. N’hésitez pas à nous contacter.
Maryse Launais et Didier Schein

Democratie

Lettre aux 637 signataires

2014-04-25 11:06:11

Cher(e)s signataires,
Du point de vue de l’existence des communes et des départements, les événements se précipitent. Les annonces de Manuel Valls provoquent une réaction en chaîne. D’une part, dans les régions, les exécutifs anticipent et vont à grand pas vers la fusion comme la Bourgogne et la Franche Comté et le 19 mai, à Nantes, un rassemblement hétéroclite d’élus du PS , Verts, UMP, de nationalistes bretons avec la patronat « des bonnets rouges », revendiquent la mise en application accélérée du pacte de responsabilité et la création d’une « Assemblée de Bretagne » réunifiée avec les 5 départements « historiques » dont la Loire Atlantique, « interdite depuis longtemps par le Jacobins » ! Ils arguent de l’audience économique accrue d’une telle région sur le marché mondial !
La République va mal, très mal !
Et qu’en est-il de la Métropole de Montpellier ? Philippe Saurel, nouveau maire de Montpellier et président de l’Agglomération, fait allégeance à la politique de Manuel Valls et se prépare à mettre en place la Métropole. André Vézinhet, indigné, à juste titre, par la disparition programmée des départements en 2021, fait signer une pétition pour dans 6 ans : les députés de l’Hérault qui ont voté la loi Lebranchu sur les métropoles signent la pétition. Mais André Vézinhet , qui a soutenu Jean Pierre Moure, reste étonnamment silencieux sur l’échéance prochaine de la Métropole. Quant à Philippe Saurel, il appelle donc à appliquer la politique du candidat battu !
Il reste cependant que les conseils municipaux ne se sont pas encore prononcés.
Voilà pourquoi nous vous appelons, vous signataires, élus et citoyens républicains, syndicalistes à poursuivre et amplifier la campagne de signatures de l’appel « NON A LA MÉTROPOLE DE MONTPELLIER », à continuer les rencontres avec les nouveaux conseils municipaux, pour leur signifier que le mandat populaire ne peut pas être différé. Il en va des communes et du département. Il en va de la démocratie politique de base qui permet la souveraineté du peuple sur les affaires qui le concerne dans les territoires. Nous sommes attachés à l’intercommunalité librement consentie et à la forme républicaine de la démocratie communale, c’est-à-dire les conseils municipaux responsables devant leurs mandants, et les conseils généraux, chargés avec leurs délégués cantonaux d’administrer les droits de la population dans leurs départements. La République a prévu des représentants élus à chaque niveau. La loi Métropole, c’est le contraire : il s’agit d’une bureaucratie non élue qui gérera en fonction des besoins de la politique d’austérité ! La résistance s’impose.
Voilà pourquoi il faut poursuivre le combat : défense de la libre administration des communes, de l’intercommunalité librement consentie, NON à la métropole, défense de la République, une et indivisible.
Merci de faire circuler auprès de vos collègues. N’hésitez pas à nous contacter.
Maryse Launais et Didier Schein

Democratie

réunion de Saussan

2014-03-13 11:50:53

Echos de la campagne de signatures de l’appel

« NON A LA MÉTROPOLE DE MONTPELLIER »

ü Vendredi 7 mars à SAUSSAN. Réunion de signataires : 15 personnes se sont réunies à Saussan à l’invitation d’une conseillère municipale de la commune, avec la participation de Mme le Maire de Pignan et d’un candidat tête de liste à Saussan. Après une large discussion sur les conséquences qu’aurait la perte des compétences communales et celles du département ainsi que la captation  des budgets par la commune-métropole, il a été décidé de poursuivre la campagne et d’écrire à tous les candidats sur les 31 communes de l’agglo pour connaître leur position sur la mise en place de la Métropole.

ü Le congrès académique des enseignants du Second Degré (SNES-FSU), réuni le 26 et 27 février a voté à l’unanimité la motion suivante :

Motion : Non à la Métropole de Montpellier

Considérants :Le SNES constate que la mise en place de la Métropole de Montpellier a pour but, selon le texte de loi, d’ « affirmer  sa compétitivité pour concourir avec les grandes métropoles européennes » dans une logique « concurrentielle »,  donc se soumettre  aux intérêts privés et aux économies de moyens « rationnalisés ». La Métropole remettrait en cause l’existence du département de l’Hérault, de ses services publics, du statut des personnels territoriaux qui y seraient transférés. Elle disposerait de larges compétences issues des communes, du département (dont les collèges transférables), de la Région (dont les lycées transférables)  et de l’Etat (dont universités transférables), absorberait les financements en laissant à l’abandon le reste du département « inutile ».Le SNES fait sien le constat du CDFN FSU des 21 et 22 janvier 2014 : « La métropole détruit l’homogénéité des services publics de l’Etat sur l’ensemble du territoire de la République, garante de l’égalité des citoyens, et menace même leur existence comme le montre, dans le champ culturel, le démantèlement des services déconcentrés (DRAC) du ministère de la Culture. »

Motion : Dans ces conditions, le congrès du SNES de l’académie de Montpellier se prononce contre la mise en place de la Métropole de Montpellier.

La campagne de signatures se poursuit.

SIGNEZ, FAITES SIGNER L’APPEL

 


Democratie



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