graphipole

CETTE PETITION EST DESORMAIS TERMINEE

A cause des polémiques lancées dans les commentaires, nous avons préféré clôturer.

Aujourd'hui, 16 Mai 2012, le couperet est tombé : licenciements économiques pour les 27 salariés !!!

Le vide juridique dans lequel nous avait précipité le tribunal d'appel de Pau serait en partie comblé, mais à quel prix ?
Que deviennent nos emplois ?
Et pourquoi casser une entreprise qui, grâce à son repreneur, au sérieux des 2 directeurs et à la motivation des salariés, repartait sur de très bonnes bases ?

Nous sommes bien petits devant les appétits des uns et des autres.


Merci à toutes et à tous de nous avoir soutenus. Vos signatures nous ont permis de nous faire entendre.

 

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TEXTE ORIGINAL DE LA PETITION :

LES ENTREPRISES DU GROUPE GRAPHIPOLE EN DANGER

 

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Suite à la gestion calamiteuse de l'ex-dirigeant, l'imprimerie SAI, la maison d'édition Atlantica et l'agence de presse API, implantées à Biarritz, ont été placées en redressement judiciaire le 6 juin 2011.

Un seul repreneur a permis de redémarrer l'activité, le 11 janvier 2012, avec un réel projet de développement industriel et cohérent.

L'ex-patron a fait appel.
Le 7 mai 2012, soit 4 mois après, le tribunal de Pau demande au tribunal de commerce de Bayonne de revoir l'affaire en imposant 3 mois d'observation.
L'ex-dirigeant devrait donc reprendre les commandes, mais il n'en a pas les moyens !

C'est le flou artistique.

Aujourd'hui, plus personne n'est à la tête de l'entreprise
- Qui paye les salaires ?
- Qui achète les matières premières (encre, papier...)

C'est la mort programmée de plusieurs entreprises qui avaient des chances de repartir.
Ce sont 27 personnes de plus au chômage, avec autant de familles impactées.

De plus, entre la 1ere décision du tribunal de Bayonne et celle du tribunal de Pau, les sociétés ont été liquidées.
De fait, nous sommes 27 personnes salariées de sociétés n'existant plus. C'est innimagineable, et c'est pourtant notre réalité !!!
Nos salaires ne peuvent plus être assurés, et en cas de licenciement, nous ne toucherons pas d'indemnités.

Soyez nombreux à nous soutenir en signant cette pétition pour demander au tribunal de commerce de Bayonne de prendre au plus vite une décision favorable au maintien de nos emplois.



Il y a réellement urgence
Nous avons besoin de vous !





Pour plus d'informations et lire notre "lettre ouverte" adressée au juge de Pau, vous référer à l'article paru le 10 mai dans le journal Sud Ouest :

http://www.sudouest.fr/2012/05/10/l-arret-de-la-cour-d-appel-de-pau-jette-le-trouble-711018-4018.php

 


Les employés du groupe graphipole    Contacter l'auteur de la pétition